Cathy a toujours été travailleuse et n'a jamais lésiné sur les horaires, même quand elle devait faire des heures supplémentaires. Elle habitait un immeuble en centre-ville et conduisait des rames de métro à longueur de journée, sans voir le jour, comme si c'était la nuit. La jeune femme souriante est devenue au fil des années de plus en plus triste et renfermée sur elle. Elle a même commencé un traitement contre la dépression.
Un jour, elle a découvert que des chercheurs américains ont étudié et suivi pendant huit ans la santé de plus de 100.000 femmes vivant à la campagne, tenant compte de l'imagerie satellite montrant la distance entre l'adresse de celles-ci et la présence de végétation. Le rapport a démontré que plus les femmes habitaient loin d'un point de verdure, plus le taux de mortalité était important, notamment avec des origines respiratoire ou cancéreuse. Une autre étude anglaise avait également constaté que les habitants de rues bordées d’arbres consommaient moins d’antidépresseurs que ceux qui vivaient dans des lieux sans verdure.
Cathy a réfléchi et a pris la décision de déménager. S'intéressant de plus en plus à la question du bien-être lié à la proximité de la nature, elle a cherché à se rapprocher d'une étendue d'eau. En effet, les travaux des universités de Canterbury (Nouvelle-Zélande) et du Michigan State (États-Unis) ont prouvé que les personnes vivant face à la mer ou à l'océan ressentaient un bien-être psychologique indéniable, boostant ainsi leur santé mentale. C'est ce que Cathy a pu constater aussi, en voyant chaque jour la beauté de la nature depuis son nouvel habitat.
Nous avons raconté l'histoire de Cathy, mais cela aurait pu être le cas des millions d'autres personnes. De quoi donner aux dirigeants de la planète des idées d’environnements plus bucoliques et d'espaces maritimes plus dégagés... En attendant de vrais changements, en cette période de vacances, vous avez compris: profitez des forêts et de la mer, garantes de bonne humeur!
Un jour, elle a découvert que des chercheurs américains ont étudié et suivi pendant huit ans la santé de plus de 100.000 femmes vivant à la campagne, tenant compte de l'imagerie satellite montrant la distance entre l'adresse de celles-ci et la présence de végétation. Le rapport a démontré que plus les femmes habitaient loin d'un point de verdure, plus le taux de mortalité était important, notamment avec des origines respiratoire ou cancéreuse. Une autre étude anglaise avait également constaté que les habitants de rues bordées d’arbres consommaient moins d’antidépresseurs que ceux qui vivaient dans des lieux sans verdure.
Cathy a réfléchi et a pris la décision de déménager. S'intéressant de plus en plus à la question du bien-être lié à la proximité de la nature, elle a cherché à se rapprocher d'une étendue d'eau. En effet, les travaux des universités de Canterbury (Nouvelle-Zélande) et du Michigan State (États-Unis) ont prouvé que les personnes vivant face à la mer ou à l'océan ressentaient un bien-être psychologique indéniable, boostant ainsi leur santé mentale. C'est ce que Cathy a pu constater aussi, en voyant chaque jour la beauté de la nature depuis son nouvel habitat.
Nous avons raconté l'histoire de Cathy, mais cela aurait pu être le cas des millions d'autres personnes. De quoi donner aux dirigeants de la planète des idées d’environnements plus bucoliques et d'espaces maritimes plus dégagés... En attendant de vrais changements, en cette période de vacances, vous avez compris: profitez des forêts et de la mer, garantes de bonne humeur!