Lucas, atteint d'une tumeur cancéreuse au cerveau, était déjà au chômage depuis plusieurs mois. Ses faibles revenus l'ont fait basculer dans la culture clandestine de stupéfiant afin de pouvoir soulager ses douleurs.
Mélanie, atteinte d’arthrose invalidante, vivait d'une petite retraite et malgré une prescription en bonne et due forme, n'a pu faire face au coût élevé de ses médicaments. Elle a entendu parler des bienfaits indéniables de la marijuana thérapeutique et a essayé d'en obtenir grâce à son médecin. Mais ce n'était pas possible, même pour les extraits de chanvre privés de la substance hallucinogène THC, donc sans effet psychotrope...
Il faut reconnaître que pour un traitement d'un mois sur ordonnance médicale, les gélules d'huile de cannabis sont vendues en pharmacie entre 130 et 260€. D'où une prolifération de fabrication artisanale moins onéreuse mais strictement interdite. Les malades sont piégés entre légalité et illégalité et se retrouvent face à la justice dans de nombreux pays. Leurs mésaventures juridiques à cause d'avoir cultivé dans leur jardin ou sur leur balcon la plante sacrée pour se soigner font le buzz des faits divers.
La reconnaissance du corps médical des bienfaits sur la santé de cette substance privée de son actif hallucinogène est de plus en plus internationale; elle devrait bientôt permettre une croissance de la production, plus accessible à tous. Aux États-Unis, au Canada, mais aussi en Europe, notamment au Pays-Bas, des patients aux pathologies divers (sclérose en plaques, VIH, cancer, arthrose invalidante ou encore épilepsie), sont traités légalement par la marijuana pour soulager de manière efficace leurs douleurs et améliorer ainsi leur quotidien. Des experts prévoient même que ce traitement pourrait être pris en charge par les assurances. Israël investit aussi dans le développement du marché du cannabis médicinal et envisage une généralisation de cette thérapie dans le monde dès 2019. La vidéo de notre article illustre l'évolution des pratiques à travers l'exemple de la Croatie où la marijuana sous contrôle médical vient d'être autorisée.
Un rapport de 2015, établi par l’université Saint George de Londres, a recensé six cannabinoïdes susceptibles de ralentir le développement des cellules cancéreuses, voire de les détruire. Hallucinant, non? Ces faits laissent planer beaucoup d'espoir.
Mélanie, atteinte d’arthrose invalidante, vivait d'une petite retraite et malgré une prescription en bonne et due forme, n'a pu faire face au coût élevé de ses médicaments. Elle a entendu parler des bienfaits indéniables de la marijuana thérapeutique et a essayé d'en obtenir grâce à son médecin. Mais ce n'était pas possible, même pour les extraits de chanvre privés de la substance hallucinogène THC, donc sans effet psychotrope...
Il faut reconnaître que pour un traitement d'un mois sur ordonnance médicale, les gélules d'huile de cannabis sont vendues en pharmacie entre 130 et 260€. D'où une prolifération de fabrication artisanale moins onéreuse mais strictement interdite. Les malades sont piégés entre légalité et illégalité et se retrouvent face à la justice dans de nombreux pays. Leurs mésaventures juridiques à cause d'avoir cultivé dans leur jardin ou sur leur balcon la plante sacrée pour se soigner font le buzz des faits divers.
La reconnaissance du corps médical des bienfaits sur la santé de cette substance privée de son actif hallucinogène est de plus en plus internationale; elle devrait bientôt permettre une croissance de la production, plus accessible à tous. Aux États-Unis, au Canada, mais aussi en Europe, notamment au Pays-Bas, des patients aux pathologies divers (sclérose en plaques, VIH, cancer, arthrose invalidante ou encore épilepsie), sont traités légalement par la marijuana pour soulager de manière efficace leurs douleurs et améliorer ainsi leur quotidien. Des experts prévoient même que ce traitement pourrait être pris en charge par les assurances. Israël investit aussi dans le développement du marché du cannabis médicinal et envisage une généralisation de cette thérapie dans le monde dès 2019. La vidéo de notre article illustre l'évolution des pratiques à travers l'exemple de la Croatie où la marijuana sous contrôle médical vient d'être autorisée.
Un rapport de 2015, établi par l’université Saint George de Londres, a recensé six cannabinoïdes susceptibles de ralentir le développement des cellules cancéreuses, voire de les détruire. Hallucinant, non? Ces faits laissent planer beaucoup d'espoir.