Manifestations à Conakry (c) Boubacar Barry
Selon Amnesty International, le projet prévoit d’étendre la garde à vue jusqu’à un mois, de fermer des lieux de culte et de surveiller la communication sans l’intervention du juge. Aussi d’extrader la personne inculpée de terrorisme vers des pays "où elle pourrait être exposée à la peine de mort ou à des actes de torture et autres mauvais traitements".
Dans un contexte d’élections législatives et présidentielles prochaines, de crises sociopolitiques, Amnesty International analyse le projet comme une restriction des libertés individuelles et collectives. Notamment celles "des personnes aux opinions dissidentes, manifestants et syndicalistes".
A rappeler aussi que depuis fin 2018, des postes armés sont installés dans plusieurs endroits sensibles à Conakry. Des zones très hostiles au régime d’Alpha Condé; au niveau desquelles les manifestations font rage.
Du 25 au 26 avril, le projet a été en inter-commission pour être présenté en plénière pour le vote le 2 mai prochain, selon Souleymane Sow, d’Amnesty International, que nous avons contacté.
Dans un contexte d’élections législatives et présidentielles prochaines, de crises sociopolitiques, Amnesty International analyse le projet comme une restriction des libertés individuelles et collectives. Notamment celles "des personnes aux opinions dissidentes, manifestants et syndicalistes".
A rappeler aussi que depuis fin 2018, des postes armés sont installés dans plusieurs endroits sensibles à Conakry. Des zones très hostiles au régime d’Alpha Condé; au niveau desquelles les manifestations font rage.
Du 25 au 26 avril, le projet a été en inter-commission pour être présenté en plénière pour le vote le 2 mai prochain, selon Souleymane Sow, d’Amnesty International, que nous avons contacté.