Le palais présidentiel de Guinée Bissau à Bissau (c) Geremias Manga
Le Mouvement pour l’alternance démocratique MADEM, un parti de l’opposition, est à l’origine de cette crise.
Selon la constitution, le Premier ministre sera issu de la formation politique qui raflera plus de sièges à l’assemblée. La campagne pour ces élections législatives a démarré le 16 février pour prendre fin le vendredi 8 mars à minuit en Guinée-Bissau.
Au total, 21 formations politiques dont le Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) sont en lice pour ce scrutin à un seul tour qui doit permettre de renouveler les 102 sièges de l'Assemblée nationale.
Sur les ondes de la rédaction lusophone de RFI, Braima Camara, le coordonnateur national du parti MADEM, un groupe de 15 députés qui a claqué la porte du parti au pouvoir, le Parti africain de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) a déclaré qu’il est "arrivé à la conclusion que la Guinée Bissau a besoin de changement". Il estime que sa formation politique est la mieux placé pour le réaliser l’alternance démocratique en Guinée Bissau.
Selon la constitution, le Premier ministre sera issu de la formation politique qui raflera plus de sièges à l’assemblée. La campagne pour ces élections législatives a démarré le 16 février pour prendre fin le vendredi 8 mars à minuit en Guinée-Bissau.
Au total, 21 formations politiques dont le Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) sont en lice pour ce scrutin à un seul tour qui doit permettre de renouveler les 102 sièges de l'Assemblée nationale.
Sur les ondes de la rédaction lusophone de RFI, Braima Camara, le coordonnateur national du parti MADEM, un groupe de 15 députés qui a claqué la porte du parti au pouvoir, le Parti africain de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) a déclaré qu’il est "arrivé à la conclusion que la Guinée Bissau a besoin de changement". Il estime que sa formation politique est la mieux placé pour le réaliser l’alternance démocratique en Guinée Bissau.