Efraín Ríos Montt a été accusé de crimes contre l'humanité et de génocide pour sa responsabilité dans les homicides et la torture de 1771 indigènes mayas ixils et le déplacement forcé de dizaines de milliers d'autres alors qu’il était président et commandant en chef de l'armée du Guatemala (1982-1983).
"Des dizaines de milliers de citoyens guatémaltèques victimes des crimes commis sous le régime Ríos Montt attendent depuis trois décennies qu’on leur rende justice - il ne faut pas les faire attendre une seconde de plus", a déclaré Erika Guevara, directrice régionale pour les Amériques à Amnesty International. "La décision des autorités guatémaltèques de fermer les yeux face aux centaines de milliers de cas de torture, d’homicide et de disparition survenus durant la guerre civile dans ce pays est honteuse et illégale. La seule chose ayant un effet dissuasif contre ce type de crime est le fait de savoir que les responsables devront répondre de leurs actes devant la justice et éprouveront toute la force de la loi."
"Des dizaines de milliers de citoyens guatémaltèques victimes des crimes commis sous le régime Ríos Montt attendent depuis trois décennies qu’on leur rende justice - il ne faut pas les faire attendre une seconde de plus", a déclaré Erika Guevara, directrice régionale pour les Amériques à Amnesty International. "La décision des autorités guatémaltèques de fermer les yeux face aux centaines de milliers de cas de torture, d’homicide et de disparition survenus durant la guerre civile dans ce pays est honteuse et illégale. La seule chose ayant un effet dissuasif contre ce type de crime est le fait de savoir que les responsables devront répondre de leurs actes devant la justice et éprouveront toute la force de la loi."