Les deux jeunes hommes se sont adressés à Amnesty International pour obtenir de l’aide, affirmant qu’ils avaient trop peur pour signaler les faits à la police ou solliciter des soins médicaux, de crainte d’être expulsés.
"Alors que nous assistons à une montée en puissance de la violence xénophobe en Grèce, en raison de l’absence de lois protégeant les victimes en situation irrégulière, le fait de signaler ces crimes peut entraîner leur expulsion, tandis que leurs assaillants demeurent libres. Cela ne fait que contribuer au climat général d’impunité pour les auteurs de ces actes et renforcer l’acceptation face à ces crimes horribles", a expliqué Jezerca Tigani, directrice adjointe du programme Europe et Asie centrale d’Amnesty International.
"Alors que nous assistons à une montée en puissance de la violence xénophobe en Grèce, en raison de l’absence de lois protégeant les victimes en situation irrégulière, le fait de signaler ces crimes peut entraîner leur expulsion, tandis que leurs assaillants demeurent libres. Cela ne fait que contribuer au climat général d’impunité pour les auteurs de ces actes et renforcer l’acceptation face à ces crimes horribles", a expliqué Jezerca Tigani, directrice adjointe du programme Europe et Asie centrale d’Amnesty International.