Amnesty International a qualifié d’inadaptée la réaction des autorités à ce mouvement homophobe organisé et violent.
Des militants LGBTI géorgiens s’étaient rassemblés le 17 mai 2013 au parc Pouchkine, dans la capitale, pour une action pacifique de commémoration de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, quand cet événement a été interrompu par une foule de contre-manifestants en colère, dont le nombre s’élevait semble-t-il à quelques milliers.
Les violences qui ont suivi ont fait 17 blessés, dont 12 ont dû être hospitalisés; trois policiers et un journaliste figuraient parmi ceux-ci.
"Paradoxalement, ces violences honteuses ont assombri une journée placée sous le signe de la solidarité face aux violences homophobes dans le monde, ce qui montre que les autorités géorgiennes ont encore beaucoup à faire afin de promouvoir la tolérance et de protéger les personnes LGBTI et leurs droits fondamentaux", a souligné John Dalhuisen, directeur du programme Europe et Asie centrale à Amnesty International.
Des militants LGBTI géorgiens s’étaient rassemblés le 17 mai 2013 au parc Pouchkine, dans la capitale, pour une action pacifique de commémoration de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, quand cet événement a été interrompu par une foule de contre-manifestants en colère, dont le nombre s’élevait semble-t-il à quelques milliers.
Les violences qui ont suivi ont fait 17 blessés, dont 12 ont dû être hospitalisés; trois policiers et un journaliste figuraient parmi ceux-ci.
"Paradoxalement, ces violences honteuses ont assombri une journée placée sous le signe de la solidarité face aux violences homophobes dans le monde, ce qui montre que les autorités géorgiennes ont encore beaucoup à faire afin de promouvoir la tolérance et de protéger les personnes LGBTI et leurs droits fondamentaux", a souligné John Dalhuisen, directeur du programme Europe et Asie centrale à Amnesty International.