Cellou Dalein DIALLO, futur président de la Guinée Conakry ? (europa.eu)
Des résultats qui confirment Cellou Dalein DIALLO de l’UFDG (l'Union des Forces Démocratiques de Guinée) premier de cette course présidentielle avec 43,69%. Il est suivi de l’opposant historique, le professeur Alpha CONDE du RPG (Rassemblement du Peuple de Guinée) avec 18,25%, de Sidya TOURE de UFR (l'Union des Forces Républicaines) avec 23,62%.
Si la Commission Electorales Nationale Indépendante(CENI) avait estimé le taux de participation à plus de 77%, la Cours suprême, elle, a revu le taux de participation à 52%.
En attendant la date du deuxième tour des élections présidentielles dans l'histoire de la Guinée, les Guinéens se posent des questions quand à la capacité de la Commission Nationale Electorale d'organiser cette consultation dans la transparence.
Si la Commission Electorales Nationale Indépendante(CENI) avait estimé le taux de participation à plus de 77%, la Cours suprême, elle, a revu le taux de participation à 52%.
En attendant la date du deuxième tour des élections présidentielles dans l'histoire de la Guinée, les Guinéens se posent des questions quand à la capacité de la Commission Nationale Electorale d'organiser cette consultation dans la transparence.
Des élections transparentes ?
On se souviendra qu'au lendemain du premier tour, plusieurs irrégularités ont été constatées au niveau de certains bureaux de vote à Conakry tout comme à l'intérieur du pays.
C'est pourquoi, les requêtes de certains candidats déposées près de la Cour suprême demandaient l'annulation pure et simple du scrutin du 27 juin.
Dans tous les cas, dans certaines localités importantes du pays le vote a été annulé, c'est le cas de deux communes urbaines de Conakry (Matoto et Matam). A l'interieur du pays le vote dans les préfectures de Kankan, Lola, Mandiana et Faranah a été aussi annulé. Les raisons évoquées sont que les résultats n'ont pas été accompagnés de procès verbaux signés.
C'est pourquoi, les requêtes de certains candidats déposées près de la Cour suprême demandaient l'annulation pure et simple du scrutin du 27 juin.
Dans tous les cas, dans certaines localités importantes du pays le vote a été annulé, c'est le cas de deux communes urbaines de Conakry (Matoto et Matam). A l'interieur du pays le vote dans les préfectures de Kankan, Lola, Mandiana et Faranah a été aussi annulé. Les raisons évoquées sont que les résultats n'ont pas été accompagnés de procès verbaux signés.