Sommet du G20, qui regroupe les plus grandes puissances économiques mondiales, s'est ouvert dimanche 15 novembre à Antalya en Turquie. Image libre de droit
Cette rencontre de haut niveau international qui a regroupé les plus grandes puissances de la planète pour traiter principalement de l’économie mondiale, a commencé par une minute de silence observée par les chefs d’État et de gouvernement des pays membres du G20.
Réunis pour un sommet de deux jours afin de discuter principalement de la coopération économique et financière internationale, du climat, ou encore de la crise des migrants, les dirigeants des pays ont changé la priorité du programme de leur agenda. Après le choc des attentats dans les rues de Paris, c’est la lutte contre le terrorisme qui a été à l'ordre du jour.
Ce fut indirectement l’opportunité pour chacun des chefs d’État de mettre en avant sa stratégie concernant la crise syrienne et sa vision de la lutte contre Daesh.
C’est d’ailleurs l’hôte du sommet du G20, le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui, avant même l’ouverture officielle du forum, a promis une réponse "très dure, très forte", après la vague d’attentats meurtriers. Rappelons que la Turquie a elle-même été victime de deux attaques à Ankara ayant fait 102 morts le 10 octobre 2015 et qu’elle est confrontée aux cellules dormantes de l’EI sur son territoire.
La chancelière allemande, Angela Merkel, beaucoup critiquée dernièrement pour sa politique migratoire, a, quant à elle, parlé d’un devoir des États vis-à-vis des victimes: "le message du sommet du G20 que nous voulons envoyer est que nous sommes plus forts que le terrorisme".
Enfin, et à la surprise de tous, Vladimir Poutine (allié principal du régime de Bachar Al-Assad), et Barack Obama, ont eu, en dépit de leur relation qu’on savait "glaciale", un aparté, durant lequel ils se sont entendus sur le besoin d’une transition politique et d’un cessez-le-feu en Syrie.
Réunis pour un sommet de deux jours afin de discuter principalement de la coopération économique et financière internationale, du climat, ou encore de la crise des migrants, les dirigeants des pays ont changé la priorité du programme de leur agenda. Après le choc des attentats dans les rues de Paris, c’est la lutte contre le terrorisme qui a été à l'ordre du jour.
Ce fut indirectement l’opportunité pour chacun des chefs d’État de mettre en avant sa stratégie concernant la crise syrienne et sa vision de la lutte contre Daesh.
C’est d’ailleurs l’hôte du sommet du G20, le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui, avant même l’ouverture officielle du forum, a promis une réponse "très dure, très forte", après la vague d’attentats meurtriers. Rappelons que la Turquie a elle-même été victime de deux attaques à Ankara ayant fait 102 morts le 10 octobre 2015 et qu’elle est confrontée aux cellules dormantes de l’EI sur son territoire.
La chancelière allemande, Angela Merkel, beaucoup critiquée dernièrement pour sa politique migratoire, a, quant à elle, parlé d’un devoir des États vis-à-vis des victimes: "le message du sommet du G20 que nous voulons envoyer est que nous sommes plus forts que le terrorisme".
Enfin, et à la surprise de tous, Vladimir Poutine (allié principal du régime de Bachar Al-Assad), et Barack Obama, ont eu, en dépit de leur relation qu’on savait "glaciale", un aparté, durant lequel ils se sont entendus sur le besoin d’une transition politique et d’un cessez-le-feu en Syrie.