François Hollande accompagné de l'ancien président libanais Michel Sleiman, lors de sa dernière visite à Beyrouth en 2012. Photo (c) Dalati Nohra
François Hollande était au Liban pour une visite exceptionnelle. C’est en effet, le premier chef d’État d’un pays prépondérant sur la scène internationale à se rendre au Liban depuis la vacance présidentielle. Dans le cadre de sa visite, plusieurs objectifs ont été visés. Le président français a insisté d’abord sur sa ferme solidarité à la crise des réfugiés syriens dont souffre particulièrement le pays et la nécessité d’aider le Liban à faire face à ce lourd fardeau.
Le second volet de la visite a porté sur la nécessité d’un consensus interne sur un présidentiable pour protéger le pays contre toute tentative externe de déstabilisation. Le président français s’est entretenu avec le Premier ministre Tammam Salam, le patriarche maronite Bechara Raï, le président de la chambre Nabih Berry, ainsi qu’avec les principaux responsables d’autres partis politiques tels que Saad Hariri, le chef du courant du Futur. Enfin, le chef d’État français a souligné l’importance primordiale des partis politiques en place, de maintenir la paix et la convivialité entre les différentes confessions religieuses du pays, afin de maintenir la stabilité régionale.
Cette visite, effectuée en coordination avec le grand Sérail, s’est effectuée sous très haute sécurité, compte tenu des attaques terroristes qui ont touchées Paris et la guerre que se livre actuellement la France et Daesh.
En résumé, la visite de François Hollande a réaffirmé la solidarité et l’amitié de la France en faveur du pays du cèdre.
Le second volet de la visite a porté sur la nécessité d’un consensus interne sur un présidentiable pour protéger le pays contre toute tentative externe de déstabilisation. Le président français s’est entretenu avec le Premier ministre Tammam Salam, le patriarche maronite Bechara Raï, le président de la chambre Nabih Berry, ainsi qu’avec les principaux responsables d’autres partis politiques tels que Saad Hariri, le chef du courant du Futur. Enfin, le chef d’État français a souligné l’importance primordiale des partis politiques en place, de maintenir la paix et la convivialité entre les différentes confessions religieuses du pays, afin de maintenir la stabilité régionale.
Cette visite, effectuée en coordination avec le grand Sérail, s’est effectuée sous très haute sécurité, compte tenu des attaques terroristes qui ont touchées Paris et la guerre que se livre actuellement la France et Daesh.
En résumé, la visite de François Hollande a réaffirmé la solidarité et l’amitié de la France en faveur du pays du cèdre.