La fête est organisée par l’association Verbes fondée par Marie-Rose Guarniéri, directrice de la Librairie des Abbesses (c) Photo by John Michael Thomson on Unsplash
La Fête de la librairie indépendante qui concerne 480 librairies françaises, belges, luxembourgeoises et suisses a été créée en 1999, elle s’inscrivait dans le cadre de la Journée mondiale du livre et du droit d'auteur qui elle a lieu la veille, le 23 avril. Elle date du 15 novembre 1995.
Cette année, la fête de la librairie par des libraires indépendants revêt un caractère particulier. En effet, on célèbre cette année le 40e anniversaire de la loi n° 81-766 du 10 août 1981 plus connue sus le nom de loi J Lang, de Jack Lang qui était alors ministre de la Culture. Elle instaure un prix unique du livre en France. Cette loi a sauvé de nombreuses librairies qui sans elle auraient connu le sort des disquaires, elle a aussi sauvé l’édition.
La fête de la librairie par des libraires indépendants s’est inspirée du principe de la Sant Jordi catalane. Chaque librairie participante offre une rose et un livre à ses clients, dans la limite des stocks disponibles, précise-t-on. Cette année, des les pays francophones, le livre offert a pour sujet la loi du prix unique.
La fête est organisée par l’association Verbes fondée par Marie-Rose Guarniéri, directrice de la Librairie des Abbesses, dans le XVIIIe arrondissement parisien. Elle est soutenue par de nombreux partenaires (CNL, SLF, Sofia), des maisons d’édition, et des femmes et des hommes dévoués à la cause du livre.
Durant toute cette journée, les visiteurs pourront aller à la rencontre de leurs libraires qui participent à cette journée. Ceux-ci leur offriront "Que vive la loi unique du prix du livre!", tiré à 25.000 exemplaires et en partenariat avec les éditions Gallimard. L’ensemble des publications de l’Association Verbes a toujours comme objectif de transmettre à un large public un aspect de l’histoire ou de la culture du livre.
Dans son avant-propos, Que la loi demeure…, Marie-Rose Guarniéri rappelle le choc subi par tous ses collègues quand ils ont dû fermer les librairies à cause de la pandémie: "Il ne s’agissait pas seulement de la fermeture d’un commerce comme un autre car ce rideau tiré, comme les yeux clos d’un visage, séparait la nation de son âme. C’est l’ADN de tout un pays qui se trouvait atteint dans son attachement profond à la libre circulation de la pensée", a-t-elle écrit. Elle ajoute des mots de gratitude à l’égard des lecteurs français qui ont exprimé avec passion leur attachement aux librairies "en venant comme une déferlante nous acheter des livres", dès la réouverture.
Cette année, la fête de la librairie par des libraires indépendants revêt un caractère particulier. En effet, on célèbre cette année le 40e anniversaire de la loi n° 81-766 du 10 août 1981 plus connue sus le nom de loi J Lang, de Jack Lang qui était alors ministre de la Culture. Elle instaure un prix unique du livre en France. Cette loi a sauvé de nombreuses librairies qui sans elle auraient connu le sort des disquaires, elle a aussi sauvé l’édition.
La fête de la librairie par des libraires indépendants s’est inspirée du principe de la Sant Jordi catalane. Chaque librairie participante offre une rose et un livre à ses clients, dans la limite des stocks disponibles, précise-t-on. Cette année, des les pays francophones, le livre offert a pour sujet la loi du prix unique.
La fête est organisée par l’association Verbes fondée par Marie-Rose Guarniéri, directrice de la Librairie des Abbesses, dans le XVIIIe arrondissement parisien. Elle est soutenue par de nombreux partenaires (CNL, SLF, Sofia), des maisons d’édition, et des femmes et des hommes dévoués à la cause du livre.
Durant toute cette journée, les visiteurs pourront aller à la rencontre de leurs libraires qui participent à cette journée. Ceux-ci leur offriront "Que vive la loi unique du prix du livre!", tiré à 25.000 exemplaires et en partenariat avec les éditions Gallimard. L’ensemble des publications de l’Association Verbes a toujours comme objectif de transmettre à un large public un aspect de l’histoire ou de la culture du livre.
Dans son avant-propos, Que la loi demeure…, Marie-Rose Guarniéri rappelle le choc subi par tous ses collègues quand ils ont dû fermer les librairies à cause de la pandémie: "Il ne s’agissait pas seulement de la fermeture d’un commerce comme un autre car ce rideau tiré, comme les yeux clos d’un visage, séparait la nation de son âme. C’est l’ADN de tout un pays qui se trouvait atteint dans son attachement profond à la libre circulation de la pensée", a-t-elle écrit. Elle ajoute des mots de gratitude à l’égard des lecteurs français qui ont exprimé avec passion leur attachement aux librairies "en venant comme une déferlante nous acheter des livres", dès la réouverture.