FIESTA LATINA, défilé de mode

(Publi-info)


Par N.V.P. Rédigé le 07/04/2009 (dernière modification le 07/04/2009)

Présentation de la Collection Couture Printemps/Eté 2009 d'Elizabeth Wessel


FIESTA LATINA

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Une collection qui puise son inspiration dans le tourbillon d’énergie de l’Amérique du Sud. Des sourires, de la bonne humeur, des jambes que l’on redécouvre, des formes aériennes, des matières qui transcendent la liberté, tout est mouvement, la FIESTA LATINA redonne du cœur et de la fête à la vie… Sur le rythme de récupération et percussion, de tamtams et de tambours…
C’est un esprit sauvage, un esprit tendre, un esprit indomptable qui privilégie, la fluidité. Les formes sont toutes en rondeur et en douceur, elles sont enveloppantes, légères comme les amazones de la pampa.
Les couleurs ciel bleu, ciel sombre, ciel pourpre rejoignent celles de la terre de havane ou d’acajou, ou encore la palette des couleurs des mers du Sud bordées par des tons sable où le corail contraste avec les feuillages de la jungle, une invitation au voyage….
Cette collection se compose de matières qui respire la vie, toutes douces, raffinées et confortables qui accompagnent les mouvements du corps de la ilhouette comme une deuxième peau…
Une fluidité évanescente pour une silhouette pleine d’élégance et de féminité.
Les lignes sont simples et pures, elles révèlent une séduction naturelle par des épaules expressément dénudées qui se couvrent par des boléros structurés, des châles ou des écharpes négligemment portés.
C’est un éventail d’écharpes et de châles tous en soie, tricot de soie dont les franges varient entre le daim et des rondelles de nacre. Les couleurs se déclinent du blanc au marron glacé, naturel, bleu mer caraïbe, lavande, kaki, sable, corail, nude...
Les tricots de lin et soie se déclinent en twin set, en pull tunique ou en petite robe moulante à bretelle en boules de bois laquées.
Des blouses tunique en soie évasées se portent comme un pyjama du soir…
Parées de liens en chaîne et pompons de cuir, elles se portent avec de magnifiques écharpes en soie séquencées par des bandes, en tricot de soie, et de franges en daim.
Des corsages seňorita en denim ou en coton d’un blanc immaculé, arborent un travail de plissés et de surpiqûres dignes de la plus belle tradition des broderies locales.
D’immenses chemises à grandes manches en lin et bambou couleur grège ivoire se déclinent sur des pantalons courts pour donner encore plus de feu et de fluidité à cette démarche tellement Latina…
Des vestes Panama, col écharpe, en ivoire, surpiquées de lin naturel, atteignent leur raffinement, elles se portent sur un petit pantalon en dentelle ton sur ton.
Une veste moustiquaire en lin bleu surprenante et tellement unique, au col smoking en soie et lin, dévoile un superbe dos délicatement travaillé par de petits plis coquins, laissant apparaître un petit gilet orné de boutons en pierre dure, et se porte divinement, sur un pantalon moulé aux hanches et librement évasé.
Des robes chemises immaculées comme une paloma ou en coton jeans, plastronnées de plissés sur les manches ou le bas de robe, se distinguent par de magnifiques boutons en lapis lazulis.
Des robes manteaux, ouvertes devant, derrière, sur les côtés, dans l’esprit « guérilla » en crêpe de satin kaki ou encore en saharienne, proposent un décolleté frémissant dans le dos et nous font totalement craquer par leurs boutons bijoux, œil de tigre serti dans une fleur de strass.
Des robes tunique très fluides pendues aux épaules et nouées par une grande boucle en strass varient avec la version en tunique poncho, en mousseline batik, au grand décolleté bateau qui laisse deviner une sous blouse de soie, tellement suggestive…
Des robes coloniales en crêpe craie se porte elle aussi avec une sous-robe…
Qu’il suffit de tomber pour révéler…
La tunique Mariposa nous transporte par sa mousseline, ses manches évanescentes, ses godets, sa magnifique boucle en strass et sa couleur de mer caraïbe profonde. Portée sur un pantalon tube ou sur une jupe et c’est « Guay de Paraguay » !
Des petits tailleurs géométriques se coordonnent avec de petites jupes à pans pendant que d’autres jupes drapées croquent les rondeurs, soulignent la taille, esquissent un chic intemporel et se portent avec une petite veste courte en lin, le col châle de soie souligne le juste revers.
Des jupes croisées, des jupes gitane, des jupes foulard, des jupes portefeuille toutes se portent aussi bien avec des petits boléros en toile de soie ou satin de soie, des vestes en organza avec un petit pull dont le décolleté du dos laissera pantois ! Ou encore avec les tricots de lin et soie. Les mailles moulantes toutes faites de soie se marieront de manière évidente avec le pantalon jupe en
taffetas de soie marquée par sa ceinture de grosses pierres Swarowski.
La noche se anuncia… il est encore temps pour se parer de la combinaison en crêpe de soie qui se porte avec la veste torero en satin de soie lissée tout en miel… C’est donc chacune pour soie… et soie pour toute !
Le soir a une dimension sculpturale que ce soit pour « el cocktail » avec une petite robe « coquillage » en lin noir dont l’intérieur corail fait écho avec la broderie et son grand châle. La combinaison en crêpe noir dont la boucle en strass illumine ce décolleté plongeant promet mille fuegos de la noche…
La femme troublante transcende l’impétuosité : version jour une robe en lin noir brodé existe en version nuit en taffetas corail et vert acidulé, parées de ses simples bretelles et de son immense volant en biais, elle surprendra et envoûtera comme « Belle de jour et Belle de nuit » ¡ Ay Caramba !
La légèreté de l’insouciance : se laisser prendre par les tourbillons de la vie comme une danse qui ne s’arrêterait jamais…
Une collection où la création inspirée par l’aventure des llanos, d’escapades dans la pampa, intensifie l’élégance naturelle des amazones et met en ébullition l’essence de la vie pour être « para siempre » dans la « FIESTA LATINA » …





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