Les trente structures les plus polluantes du vieux continent
Ce rapport expose les trente premières centrales les plus polluantes d’Europe, l’Allemagne et le Royaume-Uni étant en tête de liste, chacune détenant neuf centrales dans ce classement. Si l’Europe a réellement l’intention d’atteindre ses objectifs en matière de climat et de protéger la santé de ses citoyens, elle doit remédier à sa dépendance au charbon.
Selon le rapport "Europe’s Dirty 30", le problème du charbon européen provient de l’usage croissant des installations existantes. En Europe, de nombreuses centrales thermiques au charbon fonctionnent à plein régime ou presque, à cause du prix relativement bas du charbon par rapport au gaz. S’ajoute à cela la faiblesse du prix des quotas de CO2, qui ne joue plus son rôle pour orienter l’industrie vers une production moins polluante.
Cela a logiquement entraîné une augmentation des émissions de CO2 issues des centrales thermiques au charbon en Europe, malgré le développement rapide des énergies renouvelables et une diminution globale des émissions de gaz à effet de serre de l’Union Européenne.
Une perte d’ambition pour l’Union européenne
Le rapport montre qu’une grande utilisation de ces centrales à charbon dans certains États-membres les plus peuplés, Royaume-Uni et Allemagne, ne permettra pas à l’Europe de réduire ses émissions de gaz à effet de serre liés au charbon aussi rapidement qu’il le faudrait.
Par conséquent, ces centrales affaiblissent les ambitions climatiques de l’Union Européenne. Aujourd’hui, la sortie du charbon doit être une priorité pour l’Europe.
Des effets ravageurs pour la santé
Par ailleurs, la combustion de charbon rejette des polluants aux impacts importants sur la santé, comme l’asthme et le cancer. L’organisation Mondiale de la Santé (OMS) a récemment reconnu la pollution atmosphérique comme cause majeure de cancers mortels.
Cliquez ici pour consulter le rapport
Selon le rapport "Europe’s Dirty 30", le problème du charbon européen provient de l’usage croissant des installations existantes. En Europe, de nombreuses centrales thermiques au charbon fonctionnent à plein régime ou presque, à cause du prix relativement bas du charbon par rapport au gaz. S’ajoute à cela la faiblesse du prix des quotas de CO2, qui ne joue plus son rôle pour orienter l’industrie vers une production moins polluante.
Cela a logiquement entraîné une augmentation des émissions de CO2 issues des centrales thermiques au charbon en Europe, malgré le développement rapide des énergies renouvelables et une diminution globale des émissions de gaz à effet de serre de l’Union Européenne.
Une perte d’ambition pour l’Union européenne
Le rapport montre qu’une grande utilisation de ces centrales à charbon dans certains États-membres les plus peuplés, Royaume-Uni et Allemagne, ne permettra pas à l’Europe de réduire ses émissions de gaz à effet de serre liés au charbon aussi rapidement qu’il le faudrait.
Par conséquent, ces centrales affaiblissent les ambitions climatiques de l’Union Européenne. Aujourd’hui, la sortie du charbon doit être une priorité pour l’Europe.
Des effets ravageurs pour la santé
Par ailleurs, la combustion de charbon rejette des polluants aux impacts importants sur la santé, comme l’asthme et le cancer. L’organisation Mondiale de la Santé (OMS) a récemment reconnu la pollution atmosphérique comme cause majeure de cancers mortels.
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