L’organisation a par ailleurs déploré que la Mission d’observation électorale de l’Union africaine et la Commission électorale éthiopienne n'aient pas suffisamment suivi ni signalé les abus généralisés commis avant, pendant et après les élections.
"Amnesty International a reçu un certain nombre d’informations concernant le décès de figures de l’opposition politique dans des circonstances suspectes, ainsi que des violations des droits humains de grande ampleur commises contre les partis d’opposition tout au long de la période électorale. Ces informations doivent donner lieu à des enquêtes et les responsables présumés doivent être traduits en justice", a déclaré Michelle Kagari, directrice régionale adjointe pour l'Afrique de l'Est, la Corne de l'Afrique et les Grands Lacs à Amnesty International.
"Amnesty International a reçu un certain nombre d’informations concernant le décès de figures de l’opposition politique dans des circonstances suspectes, ainsi que des violations des droits humains de grande ampleur commises contre les partis d’opposition tout au long de la période électorale. Ces informations doivent donner lieu à des enquêtes et les responsables présumés doivent être traduits en justice", a déclaré Michelle Kagari, directrice régionale adjointe pour l'Afrique de l'Est, la Corne de l'Afrique et les Grands Lacs à Amnesty International.