Ville de Bergen en Norvège le jour de la fête nationale. Photo (c) Buen Viajero
Crée en 2012 le "World Happiness Report" mesure chaque année le bien-être des habitants de 155 pays dans le monde. Ces études sont dirigées par le Réseau des solutions pour le développement durable (SDSN) une émanation de l’ONU. Pour organiser le classement il s’intéresse dans chaque pays à différents facteurs de vie comme la liberté de décision, la santé, le niveau de soins, la générosité, le revenu et la confiance en la société. Le rapport s’appuie à la fois sur des éléments subjectifs et déclaratifs pris auprès des habitants et d’éléments statistiques tel l’espérance de vie en bonne santé.
Cette année la Norvège arrive en tête du rapport, suivie du Danemark, ancien numéro un, et de l’Islande. Les trois États partagent plusieurs éléments fondamentaux. Ils bénéficient de hautes valeurs de confiances des individus en leur société et en leurs institutions - les moins impactés par la corruption - d’un système de sécurité sociale très protecteur, ainsi que de faibles inégalités de revenus.
Loin derrière, et en recul, la France se classe au 31e rang. Si le niveau de vie des Français n’est pas différent de leurs voisins du nord, en revanche le niveau de confiance en leurs institutions demeure beaucoup plus dégradé. Leur foi en la société est elle aussi moindre, ce que confirment des études récentes montrant qu’ils avaient plutôt confiance en leur avenir individuellement mais pas collectivement.
Cette année la Norvège arrive en tête du rapport, suivie du Danemark, ancien numéro un, et de l’Islande. Les trois États partagent plusieurs éléments fondamentaux. Ils bénéficient de hautes valeurs de confiances des individus en leur société et en leurs institutions - les moins impactés par la corruption - d’un système de sécurité sociale très protecteur, ainsi que de faibles inégalités de revenus.
Loin derrière, et en recul, la France se classe au 31e rang. Si le niveau de vie des Français n’est pas différent de leurs voisins du nord, en revanche le niveau de confiance en leurs institutions demeure beaucoup plus dégradé. Leur foi en la société est elle aussi moindre, ce que confirment des études récentes montrant qu’ils avaient plutôt confiance en leur avenir individuellement mais pas collectivement.