Enfin un film qui montre réellement la passion du chasseur dans son côté le plus noble
Voici un film que nous aimerions revoir plus souvent. La chasse et les chasseurs non pas dans leur éternel rôle de tueurs de Bambi assoiffés de sang mais bien dans une approche de la nature pleine d'éthique et de respect. Ce reportage de 90 minutes tourné en Allemagne par la réalisatrice Alice Agnesknirscher permet de mieux considérer l'approche de l'homme en tant que gestionnaire de la nature.
Gestion, la plupart des chasseurs ne sont pas des amoureux de ce mot qui résonne pour eux comme une contrainte. En effet, c'est bel et bien l'état qui fixe les règles de tirs et du nombre de prélèvements à réaliser sur une saison. Hors ce qui nous touche dans ce film, c'est que le chasseur est le premier à penser que les autorisations de prélèvements donnés par l'état sont trop élevées.
Les chasseurs doivent tuer plus mais eux ne le veulent pas. C'est au travers des échanges avec ces hommes et ces femmes que l'on perçoit quelque chose de différent chez ces passionnés de grands espaces. Ils aiment les animaux, les aident à se nourrir, à vivre et pourtant ils les tuent. Cette dualité est assez étrange et l’œil de la caméra de la reporter allemande nous décrypte merveilleusement les émotions de ces chasseurs.
Alice Agnesknirscher réussie à montrer que l'homme qui pratique le plus son rapport à la nature dans son quotidien acquière au fil du temps une forme de philosophie positive envers les animaux.
Gestion, la plupart des chasseurs ne sont pas des amoureux de ce mot qui résonne pour eux comme une contrainte. En effet, c'est bel et bien l'état qui fixe les règles de tirs et du nombre de prélèvements à réaliser sur une saison. Hors ce qui nous touche dans ce film, c'est que le chasseur est le premier à penser que les autorisations de prélèvements donnés par l'état sont trop élevées.
Les chasseurs doivent tuer plus mais eux ne le veulent pas. C'est au travers des échanges avec ces hommes et ces femmes que l'on perçoit quelque chose de différent chez ces passionnés de grands espaces. Ils aiment les animaux, les aident à se nourrir, à vivre et pourtant ils les tuent. Cette dualité est assez étrange et l’œil de la caméra de la reporter allemande nous décrypte merveilleusement les émotions de ces chasseurs.
Alice Agnesknirscher réussie à montrer que l'homme qui pratique le plus son rapport à la nature dans son quotidien acquière au fil du temps une forme de philosophie positive envers les animaux.