Les marchés spéculent depuis plusieurs semaines maintenant sur un relèvement, avant la fin de l’année 2016, des taux d'intérêt américains. La réunion du Comité monétaire de la Réserve fédérale, les mardi et mercredi 20 et 21 septembre 2016, a pu leur fournir quelques éléments de réponse. La FED n'a cependant pas été la seule à s'exprimer. Ensuite, c’est la Banque du Japon qui a dévoilé son verdict monétaire.
Les Etats-Unis ont publié une inflation en léger rebond en août 2016 ainsi que des inscriptions hebdomadaires au chômage plus faibles que prévu. D’autres statistiques économiques mitigées laissent planer des doutes sur la probabilité d'un relèvement immédiat des taux. En effet, les Etats-Unis ont affiché des ventes de détail plutôt décevantes et une baisse plus forte que prévu de la production industrielle pour le mois d’août 2016. Pour les investisseurs, tous les éléments ne sont pas encore là pour que la FED puisse remonter ses taux d’intérêt.
En Europe, la Banque d'Angleterre (BoE) a préféré opter pour un statu-quo de sa politique monétaire. L'institution britannique a donc décidé, de laisser inchangé son taux directeur au plus bas historique de 0,25%. La Banque Centrale Européenne (BCE) avait suivi le même chemin quelques jours auparavant.
Sur le marché des actions, la tension se fait également sentir en raison des questions sur les politiques monétaires des deux côtés de l'Atlantique. Certains investisseurs ont préféré réduire leur exposition et prendre leurs bénéfices. Il est probable qu’avec toute cette incertitude, les marchés actions restent baissiers. L’agenda politique est par ailleurs, très chargé. Elections présidentielles aux Etats-Unis début novembre et un référendum constitutionnel vont ponctuer cet automne…ce qui n’est pas sans impacter la volatilité des marchés.
Les Etats-Unis ont publié une inflation en léger rebond en août 2016 ainsi que des inscriptions hebdomadaires au chômage plus faibles que prévu. D’autres statistiques économiques mitigées laissent planer des doutes sur la probabilité d'un relèvement immédiat des taux. En effet, les Etats-Unis ont affiché des ventes de détail plutôt décevantes et une baisse plus forte que prévu de la production industrielle pour le mois d’août 2016. Pour les investisseurs, tous les éléments ne sont pas encore là pour que la FED puisse remonter ses taux d’intérêt.
En Europe, la Banque d'Angleterre (BoE) a préféré opter pour un statu-quo de sa politique monétaire. L'institution britannique a donc décidé, de laisser inchangé son taux directeur au plus bas historique de 0,25%. La Banque Centrale Européenne (BCE) avait suivi le même chemin quelques jours auparavant.
Sur le marché des actions, la tension se fait également sentir en raison des questions sur les politiques monétaires des deux côtés de l'Atlantique. Certains investisseurs ont préféré réduire leur exposition et prendre leurs bénéfices. Il est probable qu’avec toute cette incertitude, les marchés actions restent baissiers. L’agenda politique est par ailleurs, très chargé. Elections présidentielles aux Etats-Unis début novembre et un référendum constitutionnel vont ponctuer cet automne…ce qui n’est pas sans impacter la volatilité des marchés.