Arrêté il y a plus d’un an du fait de ses liens présumés avec les Frères musulmans, Mahmoud Abdulrahman al Jaidah a été torturé et maltraité en détention. Tout contact avec un conseil lui a été refusé durant sa détention secrète, et pendant son jugement ses communications avec un avocat étaient restreintes, ce qui constitue une violation flagrante des normes internationales relatives à l’équité des procès. Il n’a pas le droit d’interjeter appel.
"La condamnation prononcée à l’encontre de Mahmoud al Jaidah est scandaleuse. C’est une mascarade, qui vide de tout son sens l’affirmation des Émirats qui prétendent être un pays progressiste et respectueux des droits humains. Mahmoud al Jaidah a été arrêté sans mandat, il a eu les yeux bandés et il a été détenu à l’isolement avant d’être, à plusieurs reprises, torturé et autrement maltraité. Il a été forcé de signer des documents qu’il n’a pas été autorisé à lire", a dit Said Boumedouha, directeur adjoint du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
Alors que Mahmoud Abdulrahman al Jaidah était détenu, les enquêteurs qui l’interrogeaient ont menacé de lui arracher les ongles et de le suspendre la tête en bas jusqu’à ce qu’il meure. Il a aussi été violemment frappé au visage et sur les pieds, privé de sommeil et exposé en permanence à des lumières vives.
"Le traitement infligé à Mahmoud al Jaidah en détention était épouvantable. Les autorités n’ont pris aucune mesure pour enquêter sur ces allégations. Une investigation indépendante sur ces mauvais traitements s’impose, et les responsables doivent être traduits en justice", a ajouté Said Boumedouha.
"La condamnation prononcée à l’encontre de Mahmoud al Jaidah est scandaleuse. C’est une mascarade, qui vide de tout son sens l’affirmation des Émirats qui prétendent être un pays progressiste et respectueux des droits humains. Mahmoud al Jaidah a été arrêté sans mandat, il a eu les yeux bandés et il a été détenu à l’isolement avant d’être, à plusieurs reprises, torturé et autrement maltraité. Il a été forcé de signer des documents qu’il n’a pas été autorisé à lire", a dit Said Boumedouha, directeur adjoint du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
Alors que Mahmoud Abdulrahman al Jaidah était détenu, les enquêteurs qui l’interrogeaient ont menacé de lui arracher les ongles et de le suspendre la tête en bas jusqu’à ce qu’il meure. Il a aussi été violemment frappé au visage et sur les pieds, privé de sommeil et exposé en permanence à des lumières vives.
"Le traitement infligé à Mahmoud al Jaidah en détention était épouvantable. Les autorités n’ont pris aucune mesure pour enquêter sur ces allégations. Une investigation indépendante sur ces mauvais traitements s’impose, et les responsables doivent être traduits en justice", a ajouté Said Boumedouha.