Madagascar, un développement soutenu et durable focalisé sur l’océan
Photo prise par l'auteur.
Pour l’occasion, il y a eu l’intervention des diverses entités, selon leur spécialisation, leurs expériences respectives pour enrichir l’économie bleue. Les débats avec les partenaires eurent pour but de rendre la stratégie plus pertinente, assurer les retombées de l’exploitation des ressources de notre espace maritime, améliorer le niveau de vie, la croissance de notre produit national brut.
Cette conférence, organisée avec le soutien de la FAO (Food and Agriculture Organization of the United Nations), a été axée autour de quatre thèmes et eut pour thème principal: "Madagascar, un développement soutenu et durable focalisé sur l’océan". Sur ce, il y eu une discussion de panel riche en échange qui concerna notamment les structures pour intégrer et assurer l’effectivité de la stratégie proprement dite. Rappelons que Madagascar a une côte de 5.000 km et une zone maritime de 1.140.000 km2 de superficie. Les activités maritimes (transport, l’exploration offshore…) bénéficient à de nombreux Malgaches (plus de 57.000 personnes). Cependant, des problèmes persistent dans ce secteur tels que l’exploitation illicite, l’insécurité maritime, le pillage des ressources marines. Pour y remédier, la stratégie nationale va être appliquée.
"L’objectif est de mobiliser les parties prenantes pour la promotion de l’économie bleue à Madagascar en consultant les secteurs intervenant en mer, à savoir les personnes ressources au niveau des départements ministériels concernés, les représentants du secteur privé, ainsi que les experts nationaux et internationaux. En effet, le pays dispose d'atouts considérables pour développer cette économie bleue pour n’en citer que son insularité, son emplacement géostratégique avantageux et la richesse de sa biodiversité", a précisé Andriatsilavo Jean Michel Rabary, directeur de la Valorisation de la mer au Secrétariat d’État chargé de la Mer.
D’autres secteurs innovants comme la biotechnologie marine et l’exploitation des énergies renouvelables marines devraient être développés à Madagascar, à part les secteurs traditionnels comme le tourisme, la pêche et l’aquaculture et le transport maritime qui sont tous considérés comme porteurs de l’économie bleue.
Le but est également de favoriser les mesures adaptées qui encouragent les coopérations entre les pays. Mais aussi de faciliter l’élaboration de politiques, l’investissement et l’innovation en faveur de la sécurité alimentaire, en vue de la réduction de la pauvreté et de la gestion durable des ressources aquatiques. Il s’agit également de créer des chaînes de valeur sur les activités maritimes et de favoriser la création d’emplois.
Une approche multi sectorielle est impérative dans l’élaboration et la mise en œuvre sur cinq ans de la stratégie pour l’obtention de résultats palpables. Des consultations régionales seront organisées afin de sensibiliser le grand public à l’appropriation nationale de ce processus de développement durable dans la mise en place de l’économie bleue dans la Grande île.
Cette conférence, organisée avec le soutien de la FAO (Food and Agriculture Organization of the United Nations), a été axée autour de quatre thèmes et eut pour thème principal: "Madagascar, un développement soutenu et durable focalisé sur l’océan". Sur ce, il y eu une discussion de panel riche en échange qui concerna notamment les structures pour intégrer et assurer l’effectivité de la stratégie proprement dite. Rappelons que Madagascar a une côte de 5.000 km et une zone maritime de 1.140.000 km2 de superficie. Les activités maritimes (transport, l’exploration offshore…) bénéficient à de nombreux Malgaches (plus de 57.000 personnes). Cependant, des problèmes persistent dans ce secteur tels que l’exploitation illicite, l’insécurité maritime, le pillage des ressources marines. Pour y remédier, la stratégie nationale va être appliquée.
"L’objectif est de mobiliser les parties prenantes pour la promotion de l’économie bleue à Madagascar en consultant les secteurs intervenant en mer, à savoir les personnes ressources au niveau des départements ministériels concernés, les représentants du secteur privé, ainsi que les experts nationaux et internationaux. En effet, le pays dispose d'atouts considérables pour développer cette économie bleue pour n’en citer que son insularité, son emplacement géostratégique avantageux et la richesse de sa biodiversité", a précisé Andriatsilavo Jean Michel Rabary, directeur de la Valorisation de la mer au Secrétariat d’État chargé de la Mer.
D’autres secteurs innovants comme la biotechnologie marine et l’exploitation des énergies renouvelables marines devraient être développés à Madagascar, à part les secteurs traditionnels comme le tourisme, la pêche et l’aquaculture et le transport maritime qui sont tous considérés comme porteurs de l’économie bleue.
Le but est également de favoriser les mesures adaptées qui encouragent les coopérations entre les pays. Mais aussi de faciliter l’élaboration de politiques, l’investissement et l’innovation en faveur de la sécurité alimentaire, en vue de la réduction de la pauvreté et de la gestion durable des ressources aquatiques. Il s’agit également de créer des chaînes de valeur sur les activités maritimes et de favoriser la création d’emplois.
Une approche multi sectorielle est impérative dans l’élaboration et la mise en œuvre sur cinq ans de la stratégie pour l’obtention de résultats palpables. Des consultations régionales seront organisées afin de sensibiliser le grand public à l’appropriation nationale de ce processus de développement durable dans la mise en place de l’économie bleue dans la Grande île.