S.A.S. le Prince Albert II de Monaco a participé, le 1er décembre 2008 à Rome, à la 9ème Conférence des Parties à la Convention sur la Conservation des Espèces Migratrices de la Faune Sauvage (Convention on Migratory Species).
Après le discours introductif de Robert Hepworth, Secrétaire Exécutif de la CMS, le Prince Souverain a pris la parole et a souligné que : "la préservation des espèces, tout comme la lutte contre le changement climatique à laquelle elle est étroitement liée, se heurte toujours à une difficulté majeure : celle de l’articulation des réponses nationales face à des enjeux qui dépassent les cadres nationaux, voire même continentaux. Difficultés techniques ou juridiques, réalités humaines ou naturelles disparates, manque de moyens ou mauvaise foi : les raisons sont nombreuses pour expliquer notre si fréquente impuissance. Les occasions de progresser sont rares. Aussi devons-nous saluer les avancées concrètes, comme celles permises depuis maintenant vingt-cinq ans par la Convention de Bonn".
Il a ensuite affirmé: "…Comme le rappelle le beau texte de la Convention, « la faune sauvage, dans ses formes innombrables, constitue un élément irremplaçable des systèmes naturels de la terre, qui doit être conservé pour le bien de l'humanité ». Derrière la faune sauvage innombrable, mesdames et messieurs, c’est toujours l’humanité qui est en jeu. Derrière la survie des espèces, c’est notre survie que nous jouons ici".
A la suite de son allocution, sont intervenus Stefania Prestigiacomo, Ministre de l’environnement italien, Angela Cropper, Directeur Exécutif Adjoint au PNUE, Jacques Diouf, Directeur Général de la FAO, et Chris Butler-Stroud, Chef exécutif de WDCS.
Le Prince s’est ensuite rendu à la Mairie où un entretien avec le Maire de Rome, M. Alemanno, s’est déroulé dans une ambiance courtoise et conviviale.
Après le discours introductif de Robert Hepworth, Secrétaire Exécutif de la CMS, le Prince Souverain a pris la parole et a souligné que : "la préservation des espèces, tout comme la lutte contre le changement climatique à laquelle elle est étroitement liée, se heurte toujours à une difficulté majeure : celle de l’articulation des réponses nationales face à des enjeux qui dépassent les cadres nationaux, voire même continentaux. Difficultés techniques ou juridiques, réalités humaines ou naturelles disparates, manque de moyens ou mauvaise foi : les raisons sont nombreuses pour expliquer notre si fréquente impuissance. Les occasions de progresser sont rares. Aussi devons-nous saluer les avancées concrètes, comme celles permises depuis maintenant vingt-cinq ans par la Convention de Bonn".
Il a ensuite affirmé: "…Comme le rappelle le beau texte de la Convention, « la faune sauvage, dans ses formes innombrables, constitue un élément irremplaçable des systèmes naturels de la terre, qui doit être conservé pour le bien de l'humanité ». Derrière la faune sauvage innombrable, mesdames et messieurs, c’est toujours l’humanité qui est en jeu. Derrière la survie des espèces, c’est notre survie que nous jouons ici".
A la suite de son allocution, sont intervenus Stefania Prestigiacomo, Ministre de l’environnement italien, Angela Cropper, Directeur Exécutif Adjoint au PNUE, Jacques Diouf, Directeur Général de la FAO, et Chris Butler-Stroud, Chef exécutif de WDCS.
Le Prince s’est ensuite rendu à la Mairie où un entretien avec le Maire de Rome, M. Alemanno, s’est déroulé dans une ambiance courtoise et conviviale.