Dubaï a tout pour séduire les Français, désireux de quitter le climat économique délétère de la France et de tenter une nouvelle vie dans ce pays à la culture à la fois orientale et occidentale.
Mais quand on y regarde de plus près, mieux vaut rester vigilant.
Dans les points positifs, partir à Dubaï permet de s’ouvrir à une autre culture, de vivre dans un pays ultra sécuritaire, d’améliorer son anglais et éventuellement son niveau d’arabe, et surtout, de pouvoir faire ses preuves plus vite et plus facilement qu’ailleurs professionnellement pour s’élever dans la hiérarchie de l’entreprise.
La vie dubaïote est très agréable, plus zen qu'en France, alors qu'on y travaille davantage.
Les services y sont également plus modernisés. La France passerait presque pour un pays "rétro" ou "vintage" à côté.
Dubaï fait aussi tomber certains préjugés: contrairement aux idées reçues, les locaux sont extrêmement respectueux des femmes. Dans les transports, il n'est pas rare qu'immigrés ou locaux se lèvent pour laisser la place aux femmes et aux enfants.
Surprenant aussi, le rôle des hommes émiriens, très présents dans l'éducation des enfants. Car pour eux, on éduque "en montrant l'exemple".
Humainement, la mentalité bédouine et tribale de Dubaï remet en question notre vision individualiste de la société. Si vous croisez un Émirien qui se restaure - un vrai Émirien, quand on a la chance d'en croiser un - il proposera même à des inconnus à côté de lui de partager son repas. Un Émirien dans les transports guettera aussi une place assise pour sa femme. Le respect des femmes est réel, pourtant au sein même d'un pays musulman. "Vivre à Dubaï fait tomber de nombreux clichés et stéréotypes acquis en France ou dans nos pays du Magrheb", explique Afia, française originaire du Maroc, et qui travaille sur place comme hôtesse.
La population est majoritairement composée d'immigrés philippins, pakistanais et indiens. "Venir à Dubaï, c'est avant s'ouvrir à un melting pot culturel, car Dubaï est un carrefour cosmopolite ", conclut Nadia, du Centre Cheikh Mohammed pour la Culture.
Mais quand on y regarde de plus près, mieux vaut rester vigilant.
Dans les points positifs, partir à Dubaï permet de s’ouvrir à une autre culture, de vivre dans un pays ultra sécuritaire, d’améliorer son anglais et éventuellement son niveau d’arabe, et surtout, de pouvoir faire ses preuves plus vite et plus facilement qu’ailleurs professionnellement pour s’élever dans la hiérarchie de l’entreprise.
La vie dubaïote est très agréable, plus zen qu'en France, alors qu'on y travaille davantage.
Les services y sont également plus modernisés. La France passerait presque pour un pays "rétro" ou "vintage" à côté.
Dubaï fait aussi tomber certains préjugés: contrairement aux idées reçues, les locaux sont extrêmement respectueux des femmes. Dans les transports, il n'est pas rare qu'immigrés ou locaux se lèvent pour laisser la place aux femmes et aux enfants.
Surprenant aussi, le rôle des hommes émiriens, très présents dans l'éducation des enfants. Car pour eux, on éduque "en montrant l'exemple".
Humainement, la mentalité bédouine et tribale de Dubaï remet en question notre vision individualiste de la société. Si vous croisez un Émirien qui se restaure - un vrai Émirien, quand on a la chance d'en croiser un - il proposera même à des inconnus à côté de lui de partager son repas. Un Émirien dans les transports guettera aussi une place assise pour sa femme. Le respect des femmes est réel, pourtant au sein même d'un pays musulman. "Vivre à Dubaï fait tomber de nombreux clichés et stéréotypes acquis en France ou dans nos pays du Magrheb", explique Afia, française originaire du Maroc, et qui travaille sur place comme hôtesse.
La population est majoritairement composée d'immigrés philippins, pakistanais et indiens. "Venir à Dubaï, c'est avant s'ouvrir à un melting pot culturel, car Dubaï est un carrefour cosmopolite ", conclut Nadia, du Centre Cheikh Mohammed pour la Culture.