Daniel Scioli. Photo (c) Presidencia de la Nación Argentina
Ce Péroniste de 58 ans ne se destinait pourtant pas à la politique. Connu des Argentins pour ses performances sportives de haut niveau, ce passionné de motonautisme interrompt sa carrière en 1989 à la suite d'un grave accident qui lui coûtera son bras droit.
Suivront ses années de businessman qui le mèneront à la tête d'Electrolux-Argentine. A la fin des années 90, il entre en politique. De 2003 à 2007 il est le vice-président de Nestor Kirchner. Depuis il gouverne la province de Buenos Aires.
Si Daniel Scioli n'était pas le premier choix de l'actuelle présidente, le soutien de cette dernière fut décisif dans son ascension dans les sondages.
Durant sa campagne l'homme politique a tenté de jongler habilement entre l'appropriation des aspects positifs du bilan du kirchernisme tout en proposant un changement.
Ainsi sur le plan social il se place dans la dynamique du gouvernement actuel en promettant par exemple de continuer à financer les avantages sociaux pour les familles et de maintenir, entre autres, la prestation universelle pour l'enfance.
Au niveau économique, le candidat FPV promet de réduire l'inflation et la dette publique sans recourir à des mesures d'austérité ou encore de créer une banque nationale qui offrirait de meilleur crédit pour les entrepreneurs indépendants.
En ce qui concerne les transports Daniel Scioli propose de développer Aerolíneas Argentinas pour mieux desservir le pays. De plus, il tend à maintenir un niveau élevé d'investissement dans les chemins de fer et d'étendre l'utilisation des trains de marchandises pour réduire les coûts de transport.
C'est sa position sur le plan international qui le distance des kirchneristes purs. En effet, le présidentiable considère la possibilité d'investissements étrangers, comme le fait en ce moment Cuba avec les USA. En revanche, il reste sur la ligne du gouvernement en place dans sa volonté de résister aux "fonds vautours".
A quelques jours des élections qui se tiendront le 25 octobre prochain, Daniel Scioli est donné grand favori avec 39% d'intentions de votes contre 27% pour son principal rival le conservateur Mauricio Macri.
Suivront ses années de businessman qui le mèneront à la tête d'Electrolux-Argentine. A la fin des années 90, il entre en politique. De 2003 à 2007 il est le vice-président de Nestor Kirchner. Depuis il gouverne la province de Buenos Aires.
Si Daniel Scioli n'était pas le premier choix de l'actuelle présidente, le soutien de cette dernière fut décisif dans son ascension dans les sondages.
Durant sa campagne l'homme politique a tenté de jongler habilement entre l'appropriation des aspects positifs du bilan du kirchernisme tout en proposant un changement.
Ainsi sur le plan social il se place dans la dynamique du gouvernement actuel en promettant par exemple de continuer à financer les avantages sociaux pour les familles et de maintenir, entre autres, la prestation universelle pour l'enfance.
Au niveau économique, le candidat FPV promet de réduire l'inflation et la dette publique sans recourir à des mesures d'austérité ou encore de créer une banque nationale qui offrirait de meilleur crédit pour les entrepreneurs indépendants.
En ce qui concerne les transports Daniel Scioli propose de développer Aerolíneas Argentinas pour mieux desservir le pays. De plus, il tend à maintenir un niveau élevé d'investissement dans les chemins de fer et d'étendre l'utilisation des trains de marchandises pour réduire les coûts de transport.
C'est sa position sur le plan international qui le distance des kirchneristes purs. En effet, le présidentiable considère la possibilité d'investissements étrangers, comme le fait en ce moment Cuba avec les USA. En revanche, il reste sur la ligne du gouvernement en place dans sa volonté de résister aux "fonds vautours".
A quelques jours des élections qui se tiendront le 25 octobre prochain, Daniel Scioli est donné grand favori avec 39% d'intentions de votes contre 27% pour son principal rival le conservateur Mauricio Macri.