Dory (ou Doris), vous vous rappelez? C’est la petite demoiselle amnésique du "Monde de Némo" - un très beau poisson chirurgien de couleur bleu, plutôt sympa mais un peu "tête de linotte". Bref, vous situez? Et bien dans ce 2e volet là voilà devenue personnage principal. Aidée de ses amis Marin et Némo (le père et le fils) ils partent tous les trois à la recherche du mystérieux passé de Doris. Nos aventuriers ne sont pas au bout de leur peine!
Dans ce deuxième opus l’humour et l’émotion sont au rendez-vous pour émerveiller les petits et les grands. Pixar y développe des messages forts comme le dépassement de soi, la tolérance, la persévérance ou encore la préservation des fonds marins. Le tout mené de main de maître par un scénario bien ficelé, de très beaux graphismes et un rythme pour le moins endiablé.
Le spectateur est alors happé par un tourbillon de péripéties, peut-être trop? En effet, le flot d’informations est à la fois jouissif et déroutant pour l’œil du cinéphile. Toutefois il va sans dire que le réalisateur Andrew Stanton a su donner matière à cette suite du monde de Némo. L’image est belle. Le scénario est abouti, drôle et émouvant. Tous les ingrédients sont réunis pour vous faire passer un bon moment seul ou en famille.
Mais avec de si bons ingrédients, pourquoi se cantonner dans la facilité d’une recette qui marche? Si les spectateurs s’attendaient à rester dans la veine du premier volet, peut-être auraient-ils voulu aussi s’en détacher un minimum? Ainsi ce très joli moment de cinéma manque certainement d’un brin d’originalité et d’audace mais conserve toutes les qualités d’un très bon Pixar.
Dans ce deuxième opus l’humour et l’émotion sont au rendez-vous pour émerveiller les petits et les grands. Pixar y développe des messages forts comme le dépassement de soi, la tolérance, la persévérance ou encore la préservation des fonds marins. Le tout mené de main de maître par un scénario bien ficelé, de très beaux graphismes et un rythme pour le moins endiablé.
Le spectateur est alors happé par un tourbillon de péripéties, peut-être trop? En effet, le flot d’informations est à la fois jouissif et déroutant pour l’œil du cinéphile. Toutefois il va sans dire que le réalisateur Andrew Stanton a su donner matière à cette suite du monde de Némo. L’image est belle. Le scénario est abouti, drôle et émouvant. Tous les ingrédients sont réunis pour vous faire passer un bon moment seul ou en famille.
Mais avec de si bons ingrédients, pourquoi se cantonner dans la facilité d’une recette qui marche? Si les spectateurs s’attendaient à rester dans la veine du premier volet, peut-être auraient-ils voulu aussi s’en détacher un minimum? Ainsi ce très joli moment de cinéma manque certainement d’un brin d’originalité et d’audace mais conserve toutes les qualités d’un très bon Pixar.