Donald Trump. Photo (c) Gage Skidmore.
Ce qui devait être une "opération séduction" des électeurs de Ted Cruz a tourné au fiasco! Pour faire oublier son passé pro choix, Donald Trump, qui répond aux questions de Chris Matthews, affirme que l’avortement est un "crime" qu’il faut "interdire". Il ajoute, sûr de lui, que les femmes qui avortent méritent une "punition", sans préciser laquelle.
À vouloir apparaître plus pro vie que les pros vie, Donald Trump provoque un tollé général dans le camp des pros choix qui dénonce une "incitation à la violence envers les femmes" mais aussi dans celui de pros vie qui ne partagent pas cette position punitive. Trump est contraint de rétro-pédaler dans un communiqué et affirme désormais que ce sont les médecins et non les femmes qui devraient être punis.
Cette polémique intervient alors que Ted Cruz et John Kasisch refusent de se désister en sa faveur lors de la convention. Donald Trump, en tête dans les urnes mais décrié par son parti devra donc obtenir la majorité absolue des délégués républicains s’il souhaite briguer l’investiture. Il reste encore 772 délégués républicains à attribuer. Trump, qui en possède 751, doit encore en conquérir 486, soit plus de 60%, pour imposer sa candidature au parti. Une marge de manœuvre étroite pour celui qui est devancé par Ted Cruz dans les sondages pour la prochaine élection qui se tiendra dans le Wisconsin le 5 avril 2016.
À vouloir apparaître plus pro vie que les pros vie, Donald Trump provoque un tollé général dans le camp des pros choix qui dénonce une "incitation à la violence envers les femmes" mais aussi dans celui de pros vie qui ne partagent pas cette position punitive. Trump est contraint de rétro-pédaler dans un communiqué et affirme désormais que ce sont les médecins et non les femmes qui devraient être punis.
Cette polémique intervient alors que Ted Cruz et John Kasisch refusent de se désister en sa faveur lors de la convention. Donald Trump, en tête dans les urnes mais décrié par son parti devra donc obtenir la majorité absolue des délégués républicains s’il souhaite briguer l’investiture. Il reste encore 772 délégués républicains à attribuer. Trump, qui en possède 751, doit encore en conquérir 486, soit plus de 60%, pour imposer sa candidature au parti. Une marge de manœuvre étroite pour celui qui est devancé par Ted Cruz dans les sondages pour la prochaine élection qui se tiendra dans le Wisconsin le 5 avril 2016.