"C’est donc à travers la création d’une bande dessinée que le groupe a décidé d’évoquer le sujet. Une bande dessinée qu’ils ont imaginé et réalisé de A à Z." (c) Ophélie Duriez
Reg’art c’est l’histoire de sept jeunes, de 15 à 17 ans, qui veulent contribuer à leur manière à changer la face du monde. Après deux projets couronnés de succès, il décide en 2019 de s’intéresser au harcèlement scolaire. Un projet qui leur tenait notamment à cœur puisque c’est à l’âge de l’adolescence que la population se révèle la plus touchée par le phénomène.
C’est donc à travers la création d’une bande dessinée que le groupe a décidé d’évoquer le sujet. Une bande dessinée qu’ils ont imaginé et réalisé de A à Z. Un choix de support judicieux, un message simple et clair et des solutions apportées à chaque problème. La BD qui s'intitule "Mots pour maux" reflète parfaitement bien la manière dont le harcèlement se vit dans la plupart des cas, par les mots.
C’est donc à travers la création d’une bande dessinée que le groupe a décidé d’évoquer le sujet. Une bande dessinée qu’ils ont imaginé et réalisé de A à Z. Un choix de support judicieux, un message simple et clair et des solutions apportées à chaque problème. La BD qui s'intitule "Mots pour maux" reflète parfaitement bien la manière dont le harcèlement se vit dans la plupart des cas, par les mots.
Deux autres projets couronnés de succès :
Avant de créer une bande dessinée les jeunes avaient déjà développés deux autres projets sur les thématiques du handicap et de la diversité culturelle.
Le premier, ils l'ont développé en 2017 avec une association du nom de Craktapo. Les membres leur ont transmis le savoir des percussions de l'Afrique de l'Ouest et de la danse africaine. Ils ont ainsi pu monter un spectacle devant un public de près de 200 personnes, en partenariat avec un foyer occupationnel pour adultes déficients intellectuels.
Pour le second, ils ont réalisé en 2018 cette fois-ci un court-métrage avec pour personnage un pingouin. Tout au long de ce mini-film on peut suivre son parcours d'exil, un moyen de faire changer les regards sur la diversité de notre monde.
Leurs valeurs, diffusées au travers de chacun de leurs initiatives ont su séduire et avoir le soutien de nombreuses personnes telles que la secrétaire d'Etat de la Transition écologique et solidaire Brune Poirson, qu'ils ont eu l'honneur de rencontrer il y a quelques mois de cela.
Le premier, ils l'ont développé en 2017 avec une association du nom de Craktapo. Les membres leur ont transmis le savoir des percussions de l'Afrique de l'Ouest et de la danse africaine. Ils ont ainsi pu monter un spectacle devant un public de près de 200 personnes, en partenariat avec un foyer occupationnel pour adultes déficients intellectuels.
Pour le second, ils ont réalisé en 2018 cette fois-ci un court-métrage avec pour personnage un pingouin. Tout au long de ce mini-film on peut suivre son parcours d'exil, un moyen de faire changer les regards sur la diversité de notre monde.
Leurs valeurs, diffusées au travers de chacun de leurs initiatives ont su séduire et avoir le soutien de nombreuses personnes telles que la secrétaire d'Etat de la Transition écologique et solidaire Brune Poirson, qu'ils ont eu l'honneur de rencontrer il y a quelques mois de cela.