Ajyal. Photo (c) MTV libanaise, publiée avec autorisation.
Claudia Marchalian, l’actrice et productrice libanaise a décrit des phénomènes sociaux considérés comme tabous dans la société libanaise tel l’homosexualité, la confusion de l’identité sexuelle, le mariage entre deux confessions différentes, le divorce, la lutte contre l’interdépendance familiale, et d’autres sujets tout en baignant les caractères qu’elle a créé à partir de personnages du monde réel dans la spécificité de la culture libanaise dans ses similarités et ses dissonances avec le Moyen-Orient.
En contraste avec d’autres productions télévisées dans lesquels des leçons de vie sont répétées très explicitement plusieurs fois par les acteurs dans un discours simpliste, "Ajyal" (générations) fait passer les idées avec intelligence tout en gardant une simplicité qui conduit les spectateurs à une confusion entre ce qui se déroule devant leurs yeux et leur vie consciente. Les téléspectateurs ne remarquent parfois même pas qu’ils sont entrain de parler avec les écrans en réagissant avec, aussi bien que contre, certains personnages.
La bisexualité d’une jeune fille, un rôle joué par la jeune Pamela El Kik, qui se sent déchirée entre sa relation avec un homme et ses sentiments envers une femme a été un des sujets les plus difficile à faire passer sur une chaîne libanaise, la MTV. Des moments pleins de sentiments entre la fille et son amant sont vécus dans l’ambivalence et d’autres très tendres avec l’amante sont traversés par un étayage de haine, de rage, et de tristesse.
Les rôles difficiles n’ont pas été gardés seulement aux acteurs renommés tel les grandissimes Majdi Machmouchi dans le rôle du méchant et Jihad Al Atrach au rôle du mari trompé mais les plus jeunes ont eu leur part. Certains de ces derniers avaient montré un professionnalisme unique, surtout dans le cas de l’amour pluriconfessionnel. Le rôle de la dame dans cet amour, une jeune veuve avec trois enfants, était joué par la très belle Nadine Njeim, Miss Liban de l’année 2005 dans lequel elle a excellé. Peut-être que quelques nouveaux arrivés n’étaient pas suffisamment professionnels, mais avec les acteurs et actrices expérimentés et le scénario parfaitement tissé, la chance donnée aux jeunes de participer à un tel travail n’était pas un risque perdu.
La dernière minute du dernier épisode de Ajyal a laissé les téléspectateurs ébahis avec un incendie dans le restaurant qui a rassemblé la plupart des acteurs venus assister au grand mariage de leurs amis. Le retour avec le tome II produira-t-il le même effet ?
En contraste avec d’autres productions télévisées dans lesquels des leçons de vie sont répétées très explicitement plusieurs fois par les acteurs dans un discours simpliste, "Ajyal" (générations) fait passer les idées avec intelligence tout en gardant une simplicité qui conduit les spectateurs à une confusion entre ce qui se déroule devant leurs yeux et leur vie consciente. Les téléspectateurs ne remarquent parfois même pas qu’ils sont entrain de parler avec les écrans en réagissant avec, aussi bien que contre, certains personnages.
La bisexualité d’une jeune fille, un rôle joué par la jeune Pamela El Kik, qui se sent déchirée entre sa relation avec un homme et ses sentiments envers une femme a été un des sujets les plus difficile à faire passer sur une chaîne libanaise, la MTV. Des moments pleins de sentiments entre la fille et son amant sont vécus dans l’ambivalence et d’autres très tendres avec l’amante sont traversés par un étayage de haine, de rage, et de tristesse.
Les rôles difficiles n’ont pas été gardés seulement aux acteurs renommés tel les grandissimes Majdi Machmouchi dans le rôle du méchant et Jihad Al Atrach au rôle du mari trompé mais les plus jeunes ont eu leur part. Certains de ces derniers avaient montré un professionnalisme unique, surtout dans le cas de l’amour pluriconfessionnel. Le rôle de la dame dans cet amour, une jeune veuve avec trois enfants, était joué par la très belle Nadine Njeim, Miss Liban de l’année 2005 dans lequel elle a excellé. Peut-être que quelques nouveaux arrivés n’étaient pas suffisamment professionnels, mais avec les acteurs et actrices expérimentés et le scénario parfaitement tissé, la chance donnée aux jeunes de participer à un tel travail n’était pas un risque perdu.
La dernière minute du dernier épisode de Ajyal a laissé les téléspectateurs ébahis avec un incendie dans le restaurant qui a rassemblé la plupart des acteurs venus assister au grand mariage de leurs amis. Le retour avec le tome II produira-t-il le même effet ?