Biarritz accueille les championnats du monde de surf. Photo (c) Julie Cartelier
Plus de 250 surfeurs se sont donnés rendez-vous à la Grande Plage de Biarritz pour les championnats du monde de surf 2017. Un événement sportif de grande ampleur qui s'est déroulé sous les meilleurs auspices du Pays Basque. Un soleil et des températures estivales ont accueillis les nombreux professionnels de la glisse qui concourraient également pour se qualifier aux JO 2020 de Tokyo.
Sept surfeurs, quatre hommes et trois femmes, représentaient la France lors de ce championnat et quatre titres ont, en tout, été remis. Et si les Françaises ont commencé très fort avec le sacre de Pauline Ado qui remporte le titre de championne du monde de surf suivi de la seconde place pour sa compatriote Johanne Defay, le Landais Johan Duru a terminé vice champion du monde lors de la finale. Avec ses très bons résultats, la France termine championne du monde de surf par équipe devançant l'Espagne (2e) puis le Portugal (3e).
Pour Biarritz, cette compétition fut l'occasion de se faire valoir dans le cas où la France remporterait l'organisation des JO 2024. Le surf doit, quant à lui, encore prouver qu'il dispose d'un futur olympique. Car si la discipline remporte la ferveur d'un public relativement jeune, elle reste principalement dépendante des aléas de la météo. La fédération internationale de surf privilégie d'ailleurs sa discipline en milieu naturel mais de plus en plus de bassin à vagues artificielles voient le jour, comme au parc Surf Snowdonia en Grande Bretagne.
La capitale européenne du surf en aura malgré tout profité pour renforcé sa notoriété et évaluer ses retombées économiques entre 4 et 5 millions d'euros, même si certains commerçants regrettent de ne pas avoir été prévenus et investis dans l'organisation de ce championnat.
Sept surfeurs, quatre hommes et trois femmes, représentaient la France lors de ce championnat et quatre titres ont, en tout, été remis. Et si les Françaises ont commencé très fort avec le sacre de Pauline Ado qui remporte le titre de championne du monde de surf suivi de la seconde place pour sa compatriote Johanne Defay, le Landais Johan Duru a terminé vice champion du monde lors de la finale. Avec ses très bons résultats, la France termine championne du monde de surf par équipe devançant l'Espagne (2e) puis le Portugal (3e).
Pour Biarritz, cette compétition fut l'occasion de se faire valoir dans le cas où la France remporterait l'organisation des JO 2024. Le surf doit, quant à lui, encore prouver qu'il dispose d'un futur olympique. Car si la discipline remporte la ferveur d'un public relativement jeune, elle reste principalement dépendante des aléas de la météo. La fédération internationale de surf privilégie d'ailleurs sa discipline en milieu naturel mais de plus en plus de bassin à vagues artificielles voient le jour, comme au parc Surf Snowdonia en Grande Bretagne.
La capitale européenne du surf en aura malgré tout profité pour renforcé sa notoriété et évaluer ses retombées économiques entre 4 et 5 millions d'euros, même si certains commerçants regrettent de ne pas avoir été prévenus et investis dans l'organisation de ce championnat.