La jeune princesse Pahlavi. Ilage du domaine public.
On remarquait la présence de l’ancienne impératrice Farah Diba, belle-sœur de la défunte. La princesse Ashraf était la sœur jumelle de l’ancien Shah d’Iran, Mohammad Reza Pahlavi.
Née le 26 octobre 1919 à Téhéran, elle avait été une femme engagée, surtout en matière de droits des femmes dans son pays. Sous le règne de son frère, elle avait mené pour lui plusieurs missions diplomatiques, notamment en Chine. Elle a aussi conduit pendant plus de dix ans, la délégation iranienne de l'Assemblée générale de l'ONU. Elle partit en exil en 1979 comme le reste de la famille impériale. Et pendant cette période, elle a beaucoup participé à la promotion de l'héritage culturel, artistique et littéraire de l'Iran, qu'elle jugeait en danger avec le régime islamique. Selon son neveu Reza Pahlavi, elle "a continué à penser à l'Iran jusqu'à son dernier souffle et elle est décédée en espérant que son pays serait libéré".
La princesse Ashraf était mère de deux fils et une fille, Shahram Pahlavi-Nia, Shahriar Shafiq et Azadeh Shafiq, nés respectivement en 1940, 1945 et 1951. Le cadet, Shahriar, fut tué par balle à Paris en 1979 devant chez elle, meurtre qui avait alors été imputé au régime révolutionnaire de Téhéran. Pour sa part, elle avait échappé deux ans auparavant, à une fusillade devant le Casino de Cannes. Son assistante y trouva la mort et son chauffeur fut blessé. La princesse Ashraf était installée à Monaco depuis deux ans.
Née le 26 octobre 1919 à Téhéran, elle avait été une femme engagée, surtout en matière de droits des femmes dans son pays. Sous le règne de son frère, elle avait mené pour lui plusieurs missions diplomatiques, notamment en Chine. Elle a aussi conduit pendant plus de dix ans, la délégation iranienne de l'Assemblée générale de l'ONU. Elle partit en exil en 1979 comme le reste de la famille impériale. Et pendant cette période, elle a beaucoup participé à la promotion de l'héritage culturel, artistique et littéraire de l'Iran, qu'elle jugeait en danger avec le régime islamique. Selon son neveu Reza Pahlavi, elle "a continué à penser à l'Iran jusqu'à son dernier souffle et elle est décédée en espérant que son pays serait libéré".
La princesse Ashraf était mère de deux fils et une fille, Shahram Pahlavi-Nia, Shahriar Shafiq et Azadeh Shafiq, nés respectivement en 1940, 1945 et 1951. Le cadet, Shahriar, fut tué par balle à Paris en 1979 devant chez elle, meurtre qui avait alors été imputé au régime révolutionnaire de Téhéran. Pour sa part, elle avait échappé deux ans auparavant, à une fusillade devant le Casino de Cannes. Son assistante y trouva la mort et son chauffeur fut blessé. La princesse Ashraf était installée à Monaco depuis deux ans.