La première impression est que le successeur est un copié/collé de son prédécesseur. Il aurait notamment été choisi pour sa compétence à organiser le déconfinement. Personne n’a cependant été impressionné sauf naturellement le président Macron qui a trouvé là un nouveau bon petit soldat.
A y regarder de plus près toutefois, Castex a pris des risques que son prédécesseur n’avait pas pris ou plus exactement avait pris mais dans un contexte différent. Il a en pris de très grands au contraire, au point de s’aliéner une nouvelle partie de la population. Entendons-nous. D’habitude, les uns y vont de leur critique sur les orientations politiques d’un tel ou d’une telle. Quelques casseroles et des trahisons politiques – vous excuserez cet euphémisme - seront rappelées. Mais être critiqué et attaqué parce que soupçonné de viol, ça c’est nouveau! Que les uns et les autres encore une fois aient été accusés de détournement de fonds, d’utilisation de l’argent public à des buts inappropriés c’est vieux comme le monde. Comme le viol d’ailleurs aussi.
Choisir deux nouveaux ministres aussi clivants, c’est prendre un risque bien grand dès le départ. Cela deviendrait-il une habitude de choisir des crapules comme premier flic de France? Dans le contexte actuel, la police n’avait pas besoin de cette mauvaise publicité. Les policiers n’avaient pas besoin d’un chef avec de telles références et les femmes en général et les victimes de viol en particulier encore moins.
Et comme si cela ne suffisait pas, le nouveau Premier ministre s’est dit que le locataire de la place Beauvau aurait besoin d’aide, aussi lui a-t-il alloué un histrion verbeux et sexiste. Ainsi Thémis est-elle doublement trahie. Sans rappeler les belles promesses du début du quinquennat, il s’agit ici d’un cas flagrant de décalage entre les gouvernants et les gouvernés. Vous vouliez une nouvelle fracture, vous allez bientôt en payer la facture!
Quant aux autres ministres, qu’en dire? Nous retrouvons Roselyne Bachelot qui comme les autres avait juré ses grands dieux que l’on ne l’y reprendrait plus. Comme les autres, elle a vite oublié ses promesses quand Castex l’a appelée et qu'elle s'est imaginée à nouveau sous les lambris dorés de la République, certes plus valorisants que les clubs de saltimbanques animés ces dernières années. Après l’obscur Véran, voilà la flamboyante Bachelot.
C’est que désormais, vous êtes filmés. Tout ce que vous direz pourra se retourner contre vous. Oui et non. Les médias ont ressorti toutes les déclarations des ministres guignols et cela n’a pas changé grand-chose. Vous dites tout et son contraire, vous êtes filmés, vous agissez a contrario de vos dires: rien ne change. Vous avez le droit de changer d’avis. Vous êtes un être humain. C’est si compréhensible. Tout cela a vraiment un goût de commedia dell’ arte. On se demande à quoi servent les médias?
Et pendant ce temps, là aussi, on nous prédit tout et son contraire. Le retour de la crise avec celui de la Covid 19. Partez en vacances mais ne prenez pas de risques. Dépensez votre argent mais attention car vous risquez de vous retrouver au chômage à la fin de l’été. Habillez-vous court mais ne venez pas vous plaindre si on vous siffle dans la rue ou pis encore.
La vie continue… Bonnes vacances!
A y regarder de plus près toutefois, Castex a pris des risques que son prédécesseur n’avait pas pris ou plus exactement avait pris mais dans un contexte différent. Il a en pris de très grands au contraire, au point de s’aliéner une nouvelle partie de la population. Entendons-nous. D’habitude, les uns y vont de leur critique sur les orientations politiques d’un tel ou d’une telle. Quelques casseroles et des trahisons politiques – vous excuserez cet euphémisme - seront rappelées. Mais être critiqué et attaqué parce que soupçonné de viol, ça c’est nouveau! Que les uns et les autres encore une fois aient été accusés de détournement de fonds, d’utilisation de l’argent public à des buts inappropriés c’est vieux comme le monde. Comme le viol d’ailleurs aussi.
Choisir deux nouveaux ministres aussi clivants, c’est prendre un risque bien grand dès le départ. Cela deviendrait-il une habitude de choisir des crapules comme premier flic de France? Dans le contexte actuel, la police n’avait pas besoin de cette mauvaise publicité. Les policiers n’avaient pas besoin d’un chef avec de telles références et les femmes en général et les victimes de viol en particulier encore moins.
Et comme si cela ne suffisait pas, le nouveau Premier ministre s’est dit que le locataire de la place Beauvau aurait besoin d’aide, aussi lui a-t-il alloué un histrion verbeux et sexiste. Ainsi Thémis est-elle doublement trahie. Sans rappeler les belles promesses du début du quinquennat, il s’agit ici d’un cas flagrant de décalage entre les gouvernants et les gouvernés. Vous vouliez une nouvelle fracture, vous allez bientôt en payer la facture!
Quant aux autres ministres, qu’en dire? Nous retrouvons Roselyne Bachelot qui comme les autres avait juré ses grands dieux que l’on ne l’y reprendrait plus. Comme les autres, elle a vite oublié ses promesses quand Castex l’a appelée et qu'elle s'est imaginée à nouveau sous les lambris dorés de la République, certes plus valorisants que les clubs de saltimbanques animés ces dernières années. Après l’obscur Véran, voilà la flamboyante Bachelot.
C’est que désormais, vous êtes filmés. Tout ce que vous direz pourra se retourner contre vous. Oui et non. Les médias ont ressorti toutes les déclarations des ministres guignols et cela n’a pas changé grand-chose. Vous dites tout et son contraire, vous êtes filmés, vous agissez a contrario de vos dires: rien ne change. Vous avez le droit de changer d’avis. Vous êtes un être humain. C’est si compréhensible. Tout cela a vraiment un goût de commedia dell’ arte. On se demande à quoi servent les médias?
Et pendant ce temps, là aussi, on nous prédit tout et son contraire. Le retour de la crise avec celui de la Covid 19. Partez en vacances mais ne prenez pas de risques. Dépensez votre argent mais attention car vous risquez de vous retrouver au chômage à la fin de l’été. Habillez-vous court mais ne venez pas vous plaindre si on vous siffle dans la rue ou pis encore.
La vie continue… Bonnes vacances!