Un dessin caricatural et sanglant du Président de la République.
Comme le Conseil économique et social, les élus UMP souhaitaient soulever plusieurs points qui méritent l'attention : faut-il s’engager dans la rénovation des canaux ? Quel soutien faut-il apporter au pôle nucléaire bourguignon ? Quelle orientation donner aux centres de formation professionnelle pour répondre aux besoins des jeunes à la recherche d’un emploi ? Comment faut-il traiter le niveau de la dette et quelles mesures prendre pour réduire l’endettement de la Région ? Quelle part doit être réservée à la fiscalité ?
Un dessin caricatural et sanglant du Président de la République.
*Le ton de la séance était donné par un tract du parti communiste déposé sur la table des élus, avec l’autorisation du Président de la Région : "réforme de la taxe professionnelle, halte au massacre !" avec un dessin caricatural et sanglant du Président de la République. "Nous condamnons un tel discrédit de la fonction du chef de l’Etat" s'indigne Jean-Pierre Soisson.
Le Président socialiste François Patriat, gagnant la tribune, s’est lancé dans un discours de campagne électorale, sans rapport avec l’ordre du jour : une attaque frontale du Président de la République et du Gouvernement. L’interrompant, Jean-Pierre Soisson lui a posé une question : "Etes-vous président du Conseil régional ou candidat ?" "Les deux" a-t-il répondu, poursuivant son discours.
En signe de protestation, les élus UMP du Conseil régional de Bourgogne ont quitté la salle.
Sarrien, le président du Conseil de la IIIe République qui a succédé à Clémenceau, avait déclaré "quand la borne est franchie, il n’y a plus de limite". Visiblement, aujourd'hui, la borne, aujourd’hui, a été franchie.
Un dessin caricatural et sanglant du Président de la République.
*Le ton de la séance était donné par un tract du parti communiste déposé sur la table des élus, avec l’autorisation du Président de la Région : "réforme de la taxe professionnelle, halte au massacre !" avec un dessin caricatural et sanglant du Président de la République. "Nous condamnons un tel discrédit de la fonction du chef de l’Etat" s'indigne Jean-Pierre Soisson.
Le Président socialiste François Patriat, gagnant la tribune, s’est lancé dans un discours de campagne électorale, sans rapport avec l’ordre du jour : une attaque frontale du Président de la République et du Gouvernement. L’interrompant, Jean-Pierre Soisson lui a posé une question : "Etes-vous président du Conseil régional ou candidat ?" "Les deux" a-t-il répondu, poursuivant son discours.
En signe de protestation, les élus UMP du Conseil régional de Bourgogne ont quitté la salle.
Sarrien, le président du Conseil de la IIIe République qui a succédé à Clémenceau, avait déclaré "quand la borne est franchie, il n’y a plus de limite". Visiblement, aujourd'hui, la borne, aujourd’hui, a été franchie.