Par Reginald Stokart Rédigé le 21/12/2013 (dernière modification le 21/12/2013)
Environ la moitié des ressortissants français en République centrafricaine ont choisi de quitter le pays depuis le début de l'intervention militaire française, afin de fuir l'insécurité et les représailles des milices de la Seleka.
Cette dernière, responsable du renversement du président centrafricain François Bozizé, est confrontée à de nombreux groupes d'auto-défense partisans du pouvoir déchu.