Laurent Fabius exclut pour l'intant toute intervention militaire française, estimant qu'elle incombe aux seuls Irakiens. Une façon de se replier derrière les États-Unis, jugés responsables de la situation par dix années d'ingérence incontrôlée en Irak, comme par leur inaction face à la crise syrienne voisine qui a envenimé les tensions.
D'après (c) Chris Lari & Art-Stok