Dans un message publié à cette occasion, M. Ban a rappelé les propositions en cinq points qu'il a soumises en octobre dernier sur le désarmement nucléaire, ainsi que "la cascade de nouvelles idées en matière de sécurité pour l'élimination des armes nucléaires".
Les États-Unis ont lâché la première bombe atomique sur Hiroshima le 6 août 1945 et une seconde sur Nagasaki le 9 août. La première bombe a fait 140.000 morts et la seconde 80.000, directement et des suites des radiations. Le Japon a capitulé le 15 août 1945, alors que l'Allemagne avait déjà capitulé le 8 mai, mettant fin à la guerre en Europe.
A la Conférence du désarmement à Genève, le représentant du Japon a souhaité que cette journée puisse servir à se souvenir des tragédies afin de renforcer la détermination à parvenir à un monde sans armes nucléaires.
"Il existe encore 26.000 armes nucléaires dans les arsenaux mondiaux, y compris des milliers en état d'alerte. En même temps la technologie de construction des bombes s'est répandue et continue de se répandre", a rappelé de son côté l'ambassadeur d'Allemagne, Helmut Hoffman, auprès de la Conférence du désarmement.
De son côté, l'ambassadeur des États-Unis Garold Larson a annoncé que le président Barack Obama présiderait en septembre une réunion de haut niveau du Conseil de sécurité sur la non-prolifération nucléaire et le désarmement.
Dans un message publié également jeudi, le président de l'Assemblée générale, Miguel d’Escoto Brockmann, a souligné que le danger qu'une arme atomique soit utilisée de nouveau ne saurait être écarté tant que l'on n'aura pas éliminé tous les armes de la face de la Terre et que l'on n'aura pas mis les capacités de fabrication sous un contrôle international fiable et durable.
Les États-Unis ont lâché la première bombe atomique sur Hiroshima le 6 août 1945 et une seconde sur Nagasaki le 9 août. La première bombe a fait 140.000 morts et la seconde 80.000, directement et des suites des radiations. Le Japon a capitulé le 15 août 1945, alors que l'Allemagne avait déjà capitulé le 8 mai, mettant fin à la guerre en Europe.
A la Conférence du désarmement à Genève, le représentant du Japon a souhaité que cette journée puisse servir à se souvenir des tragédies afin de renforcer la détermination à parvenir à un monde sans armes nucléaires.
"Il existe encore 26.000 armes nucléaires dans les arsenaux mondiaux, y compris des milliers en état d'alerte. En même temps la technologie de construction des bombes s'est répandue et continue de se répandre", a rappelé de son côté l'ambassadeur d'Allemagne, Helmut Hoffman, auprès de la Conférence du désarmement.
De son côté, l'ambassadeur des États-Unis Garold Larson a annoncé que le président Barack Obama présiderait en septembre une réunion de haut niveau du Conseil de sécurité sur la non-prolifération nucléaire et le désarmement.
Dans un message publié également jeudi, le président de l'Assemblée générale, Miguel d’Escoto Brockmann, a souligné que le danger qu'une arme atomique soit utilisée de nouveau ne saurait être écarté tant que l'on n'aura pas éliminé tous les armes de la face de la Terre et que l'on n'aura pas mis les capacités de fabrication sous un contrôle international fiable et durable.
Concours de court-métrage et exposition "Contre les armes nucléaires"
Les Nations Unies lancent un concours du meilleur court métrage sur la question du désarmement et de la non-prolifération nucléaires. Ce concours s’inscrit dans le cadre de la seconde moitié du compte à rebours « WeMustDisarm » que le Secrétaire général a lancé 100 jours avant la Journée internationale de la paix, commémorée le 21 septembre de chaque année.
Les courts métrages qui arriveront en tête du concours seront projetés au Siège de l’ONU, à New York, et intégrés à tous les supports qui seront placés sur Internet pour appuyer la campagne « WeMustDisarm » du Secrétaire général.
Quelle que soit leur compétence ou leur expérience, les candidats vidéastes doivent poster leur production sur YouTube, au plus tard jeudi 10 septembre, et créer directement un lien avec nolte@un.org.
Une exposition intitulée « Contre les armes nucléaires », qui retrace la destruction et les dégâts terribles provoqués par les explosions des bombes à Hiroshima et à Nagasaki, au Japon, et par quatre décennies d’essais nucléaires au cœur du Kazakhstan, sera inaugurée lundi 10 août à 18 heures, au Siège des Nations Unies, à New York.
L’objectif de cette exposition, qui se tiendra jusqu’au 30 septembre dans le hall des visiteurs, est de sensibiliser le public aux conséquences dévastatrices de l’emploi de la force nucléaire et de faire progresser le mouvement international en faveur de l’abolition des armes nucléaires.
Cette exposition est composée de trois parties. La première, intitulée « Espoir d’Hiroshima et de Nagasaki », met l’accent sur les destructions causées par les bombes, le processus de reconstruction et le rétablissement des survivants.
« L’Histoire inédite du polygone de Semipalatinsk » revient sur les essais nucléaires, passés sous silence, mais qui ont été effectués pendant des dizaines d’années dans les vastes steppes du centre du Kazakhstan, décrit leurs conséquences médicales, sociales et environnementales sur la population, la faune et la flore de la région et relate l’engagement pris en 1992 par le Kazakhstan de devenir une nation exempte d’armes nucléaires.
La troisième partie, « Commencement de la paix », est une sélection d’œuvres réalisées par deux artistes, qui ont contribué, par leurs créations, au mouvement pour la paix: le photographe et vidéaste Masuru Tanaka, fils d’un des survivants de la bombe atomique, et Betsie Miller-Kusz, fille d’un physicien qui a travaillé sur le projet « Manhattan » en 1945.
Cette exposition est présentée par les Missions permanentes du Japon et du Kazakhstan auprès des Nations Unies, dans le cadre des efforts continus pour le désarmement nucléaire et en vue de la Conférence d’examen de 2010 des États Parties au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).
Elle est organisée en coopération avec Art Peace, les villes d’Hiroshima, de Nagasaki et de Semey, Hiroshima International Council for Health Care of the Radiation-exposed (HICARE), le Centre nucléaire national et le Centre national des archives du Kazakhstan.
Les courts métrages qui arriveront en tête du concours seront projetés au Siège de l’ONU, à New York, et intégrés à tous les supports qui seront placés sur Internet pour appuyer la campagne « WeMustDisarm » du Secrétaire général.
Quelle que soit leur compétence ou leur expérience, les candidats vidéastes doivent poster leur production sur YouTube, au plus tard jeudi 10 septembre, et créer directement un lien avec nolte@un.org.
Une exposition intitulée « Contre les armes nucléaires », qui retrace la destruction et les dégâts terribles provoqués par les explosions des bombes à Hiroshima et à Nagasaki, au Japon, et par quatre décennies d’essais nucléaires au cœur du Kazakhstan, sera inaugurée lundi 10 août à 18 heures, au Siège des Nations Unies, à New York.
L’objectif de cette exposition, qui se tiendra jusqu’au 30 septembre dans le hall des visiteurs, est de sensibiliser le public aux conséquences dévastatrices de l’emploi de la force nucléaire et de faire progresser le mouvement international en faveur de l’abolition des armes nucléaires.
Cette exposition est composée de trois parties. La première, intitulée « Espoir d’Hiroshima et de Nagasaki », met l’accent sur les destructions causées par les bombes, le processus de reconstruction et le rétablissement des survivants.
« L’Histoire inédite du polygone de Semipalatinsk » revient sur les essais nucléaires, passés sous silence, mais qui ont été effectués pendant des dizaines d’années dans les vastes steppes du centre du Kazakhstan, décrit leurs conséquences médicales, sociales et environnementales sur la population, la faune et la flore de la région et relate l’engagement pris en 1992 par le Kazakhstan de devenir une nation exempte d’armes nucléaires.
La troisième partie, « Commencement de la paix », est une sélection d’œuvres réalisées par deux artistes, qui ont contribué, par leurs créations, au mouvement pour la paix: le photographe et vidéaste Masuru Tanaka, fils d’un des survivants de la bombe atomique, et Betsie Miller-Kusz, fille d’un physicien qui a travaillé sur le projet « Manhattan » en 1945.
Cette exposition est présentée par les Missions permanentes du Japon et du Kazakhstan auprès des Nations Unies, dans le cadre des efforts continus pour le désarmement nucléaire et en vue de la Conférence d’examen de 2010 des États Parties au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).
Elle est organisée en coopération avec Art Peace, les villes d’Hiroshima, de Nagasaki et de Semey, Hiroshima International Council for Health Care of the Radiation-exposed (HICARE), le Centre nucléaire national et le Centre national des archives du Kazakhstan.