Intitulé "Violations of the rights to freedom of expression, assembly and association in Crimea", ce document relate comment les autorités de fait en Crimée se livrent à toute une série d’atteintes aux droits humains contre les médias pro-ukrainiens, les organisations militantes, les Tatars de Crimée et les personnes qui critiquent le régime.
"Depuis que la Russie a annexé la Crimée, un large éventail de méthodes brutales est mis en œuvre pour écraser la dissidence. Une série d’enlèvements perpétrés de mars à septembre a incité de nombreux détracteurs à quitter la région. Ceux qui restent sont en butte au harcèlement, les autorités étant déterminées à faire taire leurs opposants", a déclaré John Dalhuisen, directeur du programme Europe et Asie centrale d’Amnesty International.
"Depuis que la Russie a annexé la Crimée, un large éventail de méthodes brutales est mis en œuvre pour écraser la dissidence. Une série d’enlèvements perpétrés de mars à septembre a incité de nombreux détracteurs à quitter la région. Ceux qui restent sont en butte au harcèlement, les autorités étant déterminées à faire taire leurs opposants", a déclaré John Dalhuisen, directeur du programme Europe et Asie centrale d’Amnesty International.