Circulation de véhicules à Paris (c) JCM
Pour réduire la pollution, il faudra investir pour remplacer les énergies polluantes telles que les fossiles, selon le site Connaissance des énergies: le charbon, le gaz, le pétrole,… La question fondamentale est de savoir comment remplacer ces énergies pour bénéficier toujours des mêmes services et comment trouver de l’argent pour investir dans la production des énergies non polluantes. Il faudra beaucoup d’argent et savoir faire des sacrifices après avoir compris l’enjeu, la vision et la priorité.
Ainsi donc, l’un des plus grands challenges à l’issue de cette conférence sur le climat sera l’engagement à financer les pays en voie de développement pour les encourager à abandonner les habitudes qui aggravent le réchauffement climatique. En même temps ce challenge devra être en mesure d’arracher un engagement des pays les plus polluants de la planète à réduire les émissions à effet de serre.
En effet, les pays riches (États-Unis, Chine, pays d'Europe...) sont responsables de plus de la moitié de cette pollution selon l’Agence locale de l’énergie et du climat. Même si les pays pauvres n’y sont pas pour grand-chose, ils seront le plus à en subir les conséquences.
Cette 21e conférence réunira 195 pays, et il s’avère compliqué de les voir tous prendre l’engagement et surtout de le mettre en pratique. Pourquoi? Parce que chaque membre risque en même temps de se montrer volontaire, conscient de l’importance et de l’urgence de fixer le cap mais il ne sera pas étonnant de voir chacun défendre ses intérêts, d’où le questionnement quant à la réussite du défi. Mais, comme il est question de vie, chacun y mettra certainement du sien. La conférence débute le 30 novembre et les conclusions sont attendues le 11 décembre 2015.
Ainsi donc, l’un des plus grands challenges à l’issue de cette conférence sur le climat sera l’engagement à financer les pays en voie de développement pour les encourager à abandonner les habitudes qui aggravent le réchauffement climatique. En même temps ce challenge devra être en mesure d’arracher un engagement des pays les plus polluants de la planète à réduire les émissions à effet de serre.
En effet, les pays riches (États-Unis, Chine, pays d'Europe...) sont responsables de plus de la moitié de cette pollution selon l’Agence locale de l’énergie et du climat. Même si les pays pauvres n’y sont pas pour grand-chose, ils seront le plus à en subir les conséquences.
Cette 21e conférence réunira 195 pays, et il s’avère compliqué de les voir tous prendre l’engagement et surtout de le mettre en pratique. Pourquoi? Parce que chaque membre risque en même temps de se montrer volontaire, conscient de l’importance et de l’urgence de fixer le cap mais il ne sera pas étonnant de voir chacun défendre ses intérêts, d’où le questionnement quant à la réussite du défi. Mais, comme il est question de vie, chacun y mettra certainement du sien. La conférence débute le 30 novembre et les conclusions sont attendues le 11 décembre 2015.