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Ce texte prendra en compte des orientations universelles en faveur de l’accès, la sauvegarde et le partage de l’eau pour assurer une répartition juste, efficace et responsable dans l’intérêt des différentes espèces vivantes et des futures générations. Concernant le réchauffement climatique, l’eau tient trop souvent une place marginale dans le débat face aux énergies ou aux émissions de gaz à effet de serre. Ce rendez-vous est aussi l’occasion de préparer la conférence de Copenhague (décembre 2009) qui décidera de l’après-Kyoto en apportant des éléments de réflexion sur le dossier de l’eau.
Dès la première session, en début de matinée, des personnalités internationales se sont succédées, Mikhail Gorbachev, Mario Soares, Hans-Gert Pöterring, Karl Falkenberg, Guido Sacconi et Luc van den Brande pour évoquer les problématiques liées à l’eau. Le Prince Souverain de Monaco a pris la parole en indiquant : "Les problèmes liés à l’eau irriguent toutes les organisations des sociétés humaines dans tous leurs aspects qu’ils soient économiques, humanitaires, géopolitiques ou sociaux." Il a rajouté : "Nous ne résoudrons pas les conflits liés à l’eau par des accords bilatéraux. Nous avancerons en faisant de l’eau un outil au service de la concorde, un instrument du développement des populations". Après avoir pris comme exemple le bassin méditerranéen où 30 millions de personnes n’ont pas accès à une eau salubre, il a souligné que "face à de telles inégalités, comment espérons-nous faire la paix autour de l’eau si nous ne faisons pas la paix avec l’eau. Comment une paix pourrait-elle être durable si elle devait prospérer sur la misère et l’injustice ?" et de rappeler que "si l’eau est souvent un problème dramatique, elle est aussi toujours la solution."
Dès la première session, en début de matinée, des personnalités internationales se sont succédées, Mikhail Gorbachev, Mario Soares, Hans-Gert Pöterring, Karl Falkenberg, Guido Sacconi et Luc van den Brande pour évoquer les problématiques liées à l’eau. Le Prince Souverain de Monaco a pris la parole en indiquant : "Les problèmes liés à l’eau irriguent toutes les organisations des sociétés humaines dans tous leurs aspects qu’ils soient économiques, humanitaires, géopolitiques ou sociaux." Il a rajouté : "Nous ne résoudrons pas les conflits liés à l’eau par des accords bilatéraux. Nous avancerons en faisant de l’eau un outil au service de la concorde, un instrument du développement des populations". Après avoir pris comme exemple le bassin méditerranéen où 30 millions de personnes n’ont pas accès à une eau salubre, il a souligné que "face à de telles inégalités, comment espérons-nous faire la paix autour de l’eau si nous ne faisons pas la paix avec l’eau. Comment une paix pourrait-elle être durable si elle devait prospérer sur la misère et l’injustice ?" et de rappeler que "si l’eau est souvent un problème dramatique, elle est aussi toujours la solution."