Photo: capture écran de la vidéo ci-dessous
Quel est ton parcours musical?
J'ai commencé à faire de la musique dans les années '80, c'était le bon temps, celui du punk et de l'alternatif. Je me suis greffé à cette vague et j'ai commencé à faire la première partie de grands groupes notamment français, dont Bérurier noir ou La Souris déglinguée (LSD). On a tourné en Pays-Bas, en France, ailleurs... pour en tout arriver à plus de 400 concerts. Les années ont passé, puis c'est en 2008 que j'ai désiré montrer de moi quelque chose de musicalement très différent: c'est ainsi qu'est né Thierry Link.
Comment définirais-tu l'identité musicale de ton dernier album?
Ma musique a évolué. Même si j'ai gardé quelques influences punk sur certains titres, "Without visible marks" sera davantage orienté rock atmosphérique, un peu dans la lignée de ce que produit Archive, un de mes groupes favoris: une musique à l'ambiance très visuelle voir cinématographique. Enfin, j'ai choisi d'incorporer des sons provenant de mes voyages: sur un titre, on peut entendre des chiens de St Francisco, sur un autre de la cornemuse d’Écosse et sur un autre encore un bruit de poulailler provenant de Saintes-Maries-de-la-Mer... J'aime cette idée de ramener dans ma musique quelque chose d'ailleurs.
Te produiras-tu en live prochainement?
Nous nous produirons en effet le 9 février 2019 à l'Espace Grangette et pour un concert particulier: sur scène une dizaine de musiciens dont moi, des chœurs, et derrière nous un écran panoramique de 2 mètres sur 6 qui passera en boucles des ambiances visuelles, un peu à la manière de ce que faisait les Pink Floyd durant leurs tournées! L'idée étant d'offrir au public une immersion totale dans notre musique.
J'ai commencé à faire de la musique dans les années '80, c'était le bon temps, celui du punk et de l'alternatif. Je me suis greffé à cette vague et j'ai commencé à faire la première partie de grands groupes notamment français, dont Bérurier noir ou La Souris déglinguée (LSD). On a tourné en Pays-Bas, en France, ailleurs... pour en tout arriver à plus de 400 concerts. Les années ont passé, puis c'est en 2008 que j'ai désiré montrer de moi quelque chose de musicalement très différent: c'est ainsi qu'est né Thierry Link.
Comment définirais-tu l'identité musicale de ton dernier album?
Ma musique a évolué. Même si j'ai gardé quelques influences punk sur certains titres, "Without visible marks" sera davantage orienté rock atmosphérique, un peu dans la lignée de ce que produit Archive, un de mes groupes favoris: une musique à l'ambiance très visuelle voir cinématographique. Enfin, j'ai choisi d'incorporer des sons provenant de mes voyages: sur un titre, on peut entendre des chiens de St Francisco, sur un autre de la cornemuse d’Écosse et sur un autre encore un bruit de poulailler provenant de Saintes-Maries-de-la-Mer... J'aime cette idée de ramener dans ma musique quelque chose d'ailleurs.
Te produiras-tu en live prochainement?
Nous nous produirons en effet le 9 février 2019 à l'Espace Grangette et pour un concert particulier: sur scène une dizaine de musiciens dont moi, des chœurs, et derrière nous un écran panoramique de 2 mètres sur 6 qui passera en boucles des ambiances visuelles, un peu à la manière de ce que faisait les Pink Floyd durant leurs tournées! L'idée étant d'offrir au public une immersion totale dans notre musique.