Cinq de ces militants, Su Changlan, Chen Qitang, Wang Mo, Xie Wenfei et Zhang Shengyu, ont depuis lors été officiellement placés en détention pour "incitation à la subversion de l’État". Une sixième personne, Sun Feng, a été accusée de la même infraction. S’ils sont reconnus coupables, ils risquent jusqu’à 15 ans d’emprisonnement.
Deux autres militants, Ji Sizun et Ye Xiaozheng, encourent jusqu’à cinq ans de prison pour "avoir cherché à provoquer des conflits et troublé l’ordre public". Ji Sizun est en outre poursuivi pour "organisation d'un rassemblement dans le but de troubler l'ordre public", une infraction également passible d’une peine maximale de cinq ans de prison.
"Les poursuites honteuses engagées contre ces militants illustrent le mépris des autorités chinoises pour la liberté d'expression, ce qui ne présage rien de bon pour Hong Kong", a déclaré William Nee, spécialiste de la Chine à Amnesty International.
Deux autres militants, Ji Sizun et Ye Xiaozheng, encourent jusqu’à cinq ans de prison pour "avoir cherché à provoquer des conflits et troublé l’ordre public". Ji Sizun est en outre poursuivi pour "organisation d'un rassemblement dans le but de troubler l'ordre public", une infraction également passible d’une peine maximale de cinq ans de prison.
"Les poursuites honteuses engagées contre ces militants illustrent le mépris des autorités chinoises pour la liberté d'expression, ce qui ne présage rien de bon pour Hong Kong", a déclaré William Nee, spécialiste de la Chine à Amnesty International.