Un tribunal de Changshu, dans l’est de la Chine, a reconnu Gu Yimin coupable d’incitation à la subversion de l’État pour avoir cherché à poster sur Internet des images de la répression et demandé à pouvoir organiser une manifestation pour le 24e anniversaire l’année dernière.
"Gu Yimin doit être remis en liberté immédiatement et sans condition. Près de 25 ans après la répression de Tiananmen, les autorités continuent de ne reculer devant rien pour cacher la vérité sur cet événement", a déclaré Anu Kultalahti, responsable des recherches sur la Chine à Amnesty International.
Des centaines, si ce ne sont des milliers, de manifestants ont été tués ou blessés lors de la répression par l’armée de la manifestation organisée par des étudiants sur la place Tiananmen et les environs en 1989.
"Tout semble indiquer, alors qu’approche le 25e anniversaire, que la chasse annuelle des militants cherchant à commémorer les événements tragiques de 1989 a été lancée. Au lieu de s’engager systématiquement dans cette politique de répression, les autorités chinoises devraient reconnaître ce qui s’est réellement passé et rendre justice aux victimes", a déclaré Anu Kultalahti.
Les événements de 1989 restent un tabou pour les autorités chinoises. Les tentatives visant à commémorer, débattre et réclamer justice pour ce qui s’est passé sont jugulées par la force, sans qu’aucun débat public ne soit autorisé.
"Gu Yimin doit être remis en liberté immédiatement et sans condition. Près de 25 ans après la répression de Tiananmen, les autorités continuent de ne reculer devant rien pour cacher la vérité sur cet événement", a déclaré Anu Kultalahti, responsable des recherches sur la Chine à Amnesty International.
Des centaines, si ce ne sont des milliers, de manifestants ont été tués ou blessés lors de la répression par l’armée de la manifestation organisée par des étudiants sur la place Tiananmen et les environs en 1989.
"Tout semble indiquer, alors qu’approche le 25e anniversaire, que la chasse annuelle des militants cherchant à commémorer les événements tragiques de 1989 a été lancée. Au lieu de s’engager systématiquement dans cette politique de répression, les autorités chinoises devraient reconnaître ce qui s’est réellement passé et rendre justice aux victimes", a déclaré Anu Kultalahti.
Les événements de 1989 restent un tabou pour les autorités chinoises. Les tentatives visant à commémorer, débattre et réclamer justice pour ce qui s’est passé sont jugulées par la force, sans qu’aucun débat public ne soit autorisé.