Illustration du dessinateur Jocelyn Josso
Tout le monde voulait savoir et connaître les détails les plus croustillants autour de son évasion. S’était-il caché dans une malle, une housse d’instrument de musique ou un costume de sumo ? Avait-il des alliés sur place, sa femme était-elle au courant ?
Les journalistes étaient au spectacle, comme si finalement cette escapade était normale et que l’ancien patron de Renault Nissan avait bien fait de s’échapper de ce goulag judiciaire japonais. Le temps d’une après-midi, les médias triés sur le volet par l’ancien grand patron attendaient le scoop.
Mais si l’ambiance était plus proche de celle d’un happy end d’une bonne série télévisée, l’essentiel a peut-être été oublié car si Carlos Ghosn a été forcé de passer quatorze mois au japon, c’était peut-être aussi parce qu’il avait confondu le compte en banque de l’entreprise avec celui de sa maison.
Mais laquelle ? Sa résidence de Beyrouth, son duplex de 489 m2 rue George Mendel dans le seizième ou sa bicoque située sur la plage de Copacabana ? Cela personne ne le sait et seul l’avenir le dira, enfin, peut-être, la suite sur Netfisc !
Les journalistes étaient au spectacle, comme si finalement cette escapade était normale et que l’ancien patron de Renault Nissan avait bien fait de s’échapper de ce goulag judiciaire japonais. Le temps d’une après-midi, les médias triés sur le volet par l’ancien grand patron attendaient le scoop.
Mais si l’ambiance était plus proche de celle d’un happy end d’une bonne série télévisée, l’essentiel a peut-être été oublié car si Carlos Ghosn a été forcé de passer quatorze mois au japon, c’était peut-être aussi parce qu’il avait confondu le compte en banque de l’entreprise avec celui de sa maison.
Mais laquelle ? Sa résidence de Beyrouth, son duplex de 489 m2 rue George Mendel dans le seizième ou sa bicoque située sur la plage de Copacabana ? Cela personne ne le sait et seul l’avenir le dira, enfin, peut-être, la suite sur Netfisc !