Le 21 juillet, un tribunal de Phnom Penh, la capitale du pays, a condamné 10 jeunes militants et un responsable du parti d'opposition Parti du sauvetage national du Cambodge (PSNC) à des peines allant de sept à 20 ans d'emprisonnement pour des chefs d'"insurrection".
"Ce procès n'a pas respecté les garanties les plus élémentaires pour l'équité des procès, et les condamnations de ces 11 militants doivent être immédiatement annulées. La procédure a été entachée d'irrégularités et les accusés ont été privés du droit d'être jugés par un tribunal indépendant et impartial", a déclaré Rupert Abbott, directeur de la recherche pour la région Asie du Sud-Est et Océanie à Amnesty International.
"Ce procès n'a pas respecté les garanties les plus élémentaires pour l'équité des procès, et les condamnations de ces 11 militants doivent être immédiatement annulées. La procédure a été entachée d'irrégularités et les accusés ont été privés du droit d'être jugés par un tribunal indépendant et impartial", a déclaré Rupert Abbott, directeur de la recherche pour la région Asie du Sud-Est et Océanie à Amnesty International.