Intitulé "Taking to the streets", ce document révèle qu’aucun fonctionnaire ou membre des forces de sécurité n’a été amené à rendre des comptes pour la répression souvent brutale des manifestations au Cambodge, notamment lors des élections contestées de 2013.
"Au Cambodge, des manifestants ont dû braver les matraques et parfois les balles pour exprimer leur opinion. Au cours des deux dernières années, les gens sont descendus dans la rue pour revendiquer leurs droits comme jamais auparavant, mais les autorités ont régulièrement répondu par une répression violente. Notre rapport montre que les victimes de graves violations des droits humains commises par les forces de sécurité sont laissées sans justice ni recours utile, tandis que les responsables de ces agissements continuent d’échapper aux poursuites", a déclaré Rupert Abbott, directeur des recherches sur l’Asie du Sud-est et le Pacifique à Amnesty International.
Le rapport, qui s’appuie sur des recherches approfondies menées dans le pays, couvre une période tumultueuse au cours de laquelle ont probablement eu lieu les plus grandes manifestations de l’histoire du Cambodge.
"Au Cambodge, des manifestants ont dû braver les matraques et parfois les balles pour exprimer leur opinion. Au cours des deux dernières années, les gens sont descendus dans la rue pour revendiquer leurs droits comme jamais auparavant, mais les autorités ont régulièrement répondu par une répression violente. Notre rapport montre que les victimes de graves violations des droits humains commises par les forces de sécurité sont laissées sans justice ni recours utile, tandis que les responsables de ces agissements continuent d’échapper aux poursuites", a déclaré Rupert Abbott, directeur des recherches sur l’Asie du Sud-est et le Pacifique à Amnesty International.
Le rapport, qui s’appuie sur des recherches approfondies menées dans le pays, couvre une période tumultueuse au cours de laquelle ont probablement eu lieu les plus grandes manifestations de l’histoire du Cambodge.