Saïdal s'associe au Kowëit pour produire des médicaments 'anticancéreux'
Le groupe Saïdal envisage de produire des médicaments "anticancéreux" en collaboration avec le Koweït. Boumediène Dekaoui, le PDG du groupe Saïdal, aurait annoncé qu' "une vingtaine de médicaments utilisés dans le traitement du cancer" seraient produits.
Saïdal souhaiterait s'associer avec des producteurs venus du Koweït afin de créer ensemble une usine de production de médicaments pour le traitement du cancer.
"Sur quelque 150 produits utilisés contre le cancer, nous envisageons de produire une vingtaine de spécialités médicamenteuses permettant de traiter les tumeurs", a déclaré l'un des responsables de Saïdal. Le PDG du producteur de la pharmacie a signalé quant à lui que "la Pharmacie centrale des hôpitaux (PHC) achète, chaque année, pour une valeur de 8 à 10 milliards de dinars de produits anticancéreux importés".
En ce moment, ce type de médicaments est victime de pénurie et le PDG du groupe se dit incapable d'expliquer ce phénomène. L'association du groupe Saïdal avec le Koweït va-t-elle changer les choses? Et surtout venir en aide aux malades?
Source: Le Quotidien d'Oran
Saïdal souhaiterait s'associer avec des producteurs venus du Koweït afin de créer ensemble une usine de production de médicaments pour le traitement du cancer.
"Sur quelque 150 produits utilisés contre le cancer, nous envisageons de produire une vingtaine de spécialités médicamenteuses permettant de traiter les tumeurs", a déclaré l'un des responsables de Saïdal. Le PDG du producteur de la pharmacie a signalé quant à lui que "la Pharmacie centrale des hôpitaux (PHC) achète, chaque année, pour une valeur de 8 à 10 milliards de dinars de produits anticancéreux importés".
En ce moment, ce type de médicaments est victime de pénurie et le PDG du groupe se dit incapable d'expliquer ce phénomène. L'association du groupe Saïdal avec le Koweït va-t-elle changer les choses? Et surtout venir en aide aux malades?
Source: Le Quotidien d'Oran
Une agriculture qui se renforce
Le 22 novembre dernier, au Palais des expositions des Pins-Maritimes lors du forum agricole algéro-marocain, trois conventions entre des opérateurs algériens et marocains ont été signées.
"Pour les deux ministres algérien et marocain de l’Agriculture Rachid Benaïssa ministre algérien de l’Agriculture et du Développement rural et Aziz Akhanouch le ministre marocain de l’Agriculture et de la Pêche maritime, il y a une volonté politique solide, de part et d’autre, de relever le défi de la sécurité alimentaire, et la signature de trois conventions entre les opérateurs des deux pays n’est que le début d’un processus qui ira en s’élargissant."
Ces trois conventions traitent notamment du Conseil interprofessionnel algérien des filières agricoles et la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural, de la participation au Salon international de l’agriculture des deux pays (SIA) et entre les deux fédérations de l’apiculture algérienne et marocaine.
Rachid Benaïssa a confié au Soir d'Algérie: "nous avons beaucoup d’objectifs communs à atteindre dans le secteur de l’agriculture comme il existe une volonté politique solide chez les deux pays de relever le défi de la sécurité alimentaire. C’est ainsi le début d’un processus qui ira en s’élargissant, un processus qu’on veut voir évoluer et se construire étape par étape et d’une manière solide et durable." Quant au ministre marocain de l'Agriculture et de la Pêche maritime, lui a insisté sur le fait que: "d’habitude nous avons de grandes difficultés à regrouper autant d’opérateurs privés marocains pour la participation aux salons internationaux, mais cette fois-ci et puisque il s’agit de l’Algérie, tout le monde a répondu favorablement à l’invitation."
A les écouter, il s'agit d'une véritable alliance entre ces deux pays. Vous y croyez vous?
Source: Le soir d’Algérie
"Pour les deux ministres algérien et marocain de l’Agriculture Rachid Benaïssa ministre algérien de l’Agriculture et du Développement rural et Aziz Akhanouch le ministre marocain de l’Agriculture et de la Pêche maritime, il y a une volonté politique solide, de part et d’autre, de relever le défi de la sécurité alimentaire, et la signature de trois conventions entre les opérateurs des deux pays n’est que le début d’un processus qui ira en s’élargissant."
Ces trois conventions traitent notamment du Conseil interprofessionnel algérien des filières agricoles et la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural, de la participation au Salon international de l’agriculture des deux pays (SIA) et entre les deux fédérations de l’apiculture algérienne et marocaine.
Rachid Benaïssa a confié au Soir d'Algérie: "nous avons beaucoup d’objectifs communs à atteindre dans le secteur de l’agriculture comme il existe une volonté politique solide chez les deux pays de relever le défi de la sécurité alimentaire. C’est ainsi le début d’un processus qui ira en s’élargissant, un processus qu’on veut voir évoluer et se construire étape par étape et d’une manière solide et durable." Quant au ministre marocain de l'Agriculture et de la Pêche maritime, lui a insisté sur le fait que: "d’habitude nous avons de grandes difficultés à regrouper autant d’opérateurs privés marocains pour la participation aux salons internationaux, mais cette fois-ci et puisque il s’agit de l’Algérie, tout le monde a répondu favorablement à l’invitation."
A les écouter, il s'agit d'une véritable alliance entre ces deux pays. Vous y croyez vous?
Source: Le soir d’Algérie
Condor se lance dans la production de détecteurs de fuites de gaz
Connue pour l'électroménager et l'électronique, la société Condor a prévu de se lancer dans un avenir proche, dans la production de détecteurs de fuites de gaz. Ceux-ci seraient conçus par un ingénieur algérien.
Le PDG de Condor Abdelmalek Benhamadi déclare dans Elwatan que: "dans une première étape, nous allons produire les premières cartes électroniques Condor, qui seront testées dans nos laboratoires. Avant d’engager la procédure d’homologation du produit à mettre par la suite sur le marché et on doit obligatoirement le présenter à Sonelgaz, l’opérateur public chargé de la distribution et commercialisation du gaz naturel".
Le patron de la société, filiale du groupe Benhamadi, a continué en mettant en avant les familles et l'"aide" que Condor pouvait apporter. "En sa qualité de société citoyenne, Condor ne pouvait rester insensible vis-à-vis du phénomène des intoxications au gaz, endeuillant annuellement bon nombre de familles algériennes. Pour atténuer un tant soi peu l’hécatombe, on compte dans une seconde phase, étendre l’opération aux branchements des immeubles collectifs, installations et fours industriels".
Il y a des bonnes intentions...
Source: Elwatan
Le PDG de Condor Abdelmalek Benhamadi déclare dans Elwatan que: "dans une première étape, nous allons produire les premières cartes électroniques Condor, qui seront testées dans nos laboratoires. Avant d’engager la procédure d’homologation du produit à mettre par la suite sur le marché et on doit obligatoirement le présenter à Sonelgaz, l’opérateur public chargé de la distribution et commercialisation du gaz naturel".
Le patron de la société, filiale du groupe Benhamadi, a continué en mettant en avant les familles et l'"aide" que Condor pouvait apporter. "En sa qualité de société citoyenne, Condor ne pouvait rester insensible vis-à-vis du phénomène des intoxications au gaz, endeuillant annuellement bon nombre de familles algériennes. Pour atténuer un tant soi peu l’hécatombe, on compte dans une seconde phase, étendre l’opération aux branchements des immeubles collectifs, installations et fours industriels".
Il y a des bonnes intentions...
Source: Elwatan