Le nouveau Code, en vigueur le 1er mai 2014, autorise des sanctions cruelles et inhumaines, notamment la lapidation, la flagellation et l’amputation.
"Le nouveau Code pénal du Brunéi Darussalam légalise les traitements cruels et inhumains. Il tourne en dérision les engagements internationaux du pays en termes de droits humains et doit être abrogé immédiatement", a déclaré Rupert Abbott, directeur adjoint du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International.
"Le nouveau Code pénal du Brunéi Darussalam légalise les traitements cruels et inhumains. Il tourne en dérision les engagements internationaux du pays en termes de droits humains et doit être abrogé immédiatement", a déclaré Rupert Abbott, directeur adjoint du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International.