La Coupe du monde 2014 devant placer le Brésil sous les feux de la rampe, Amnesty International lance une nouvelle campagne mondiale priant les autorités de veiller à ce que les forces de sécurité "respectent les règles du jeu" pendant les manifestations qui devraient avoir lieu avant et pendant le tournoi.
La campagne, intitulée "Brésil, attention à la faute!", invite les gens à travers le monde à envoyer à la présidente du Brésil, Dilma Rousseff, et au président du Congrès, Renan Calheiros, des cartons jaunes leur demandant que soient respectés les droits de tout un chacun à la liberté d'expression et de réunion pacifique durant la Coupe du monde.
"Ce n'est pas un délit de protester, c'est un droit humain. Au lieu d'utiliser la violence contre les manifestants, les pouvoirs publics et les forces de sécurité doivent veiller à la sécurité des personnes. Tout abus doit faire l'objet d'une enquête dans les meilleurs délais, et les responsables traduits en justice", a déclaré Atila Roque, directeur exécutif d'Amnesty International Brésil.
La campagne, intitulée "Brésil, attention à la faute!", invite les gens à travers le monde à envoyer à la présidente du Brésil, Dilma Rousseff, et au président du Congrès, Renan Calheiros, des cartons jaunes leur demandant que soient respectés les droits de tout un chacun à la liberté d'expression et de réunion pacifique durant la Coupe du monde.
"Ce n'est pas un délit de protester, c'est un droit humain. Au lieu d'utiliser la violence contre les manifestants, les pouvoirs publics et les forces de sécurité doivent veiller à la sécurité des personnes. Tout abus doit faire l'objet d'une enquête dans les meilleurs délais, et les responsables traduits en justice", a déclaré Atila Roque, directeur exécutif d'Amnesty International Brésil.