Un bracelet en néoprène décliné sous diverses couleurs fait fureur auprès des baigneurs, surfeurs et autres amoureux d’activités nautiques. Il s’agit du sharkbanz, un bracelet équipé de puissants aimants de néodymium capables de perturber les récepteurs sensoriels des squales.
L’accessoire est dit "anti-requin" car il permet, en théorie, d’éviter les attaques. Révolutionnaire en apparence, le sharkbanz, qui est disponible sur le marché calédonien depuis quelques semaines, est un succès en magasins. Et pour cause, la Nouvelle-Calédonie a compté en 2015 deux attaques mortelles de requins. Mais il y a un hic: l’efficacité du produit est remise en question depuis qu’un jeune surfeur de 16 ans s’est fait mordre le bras par un requin en Floride alors même qu’il portait le fameux bracelet au poignet.
Un incident malheureux qui force à la conclusion que le sharkbanz est inutile. De son côté, la marque maintient son discours commercial: le bracelet aurait le pouvoir de réduire les risques mais non de protéger totalement les porteurs. Une nuance qui, pour l’heure, n’empêche pas le sharkbanz de séduire - et rassurer- les clients calédoniens.
L’accessoire est dit "anti-requin" car il permet, en théorie, d’éviter les attaques. Révolutionnaire en apparence, le sharkbanz, qui est disponible sur le marché calédonien depuis quelques semaines, est un succès en magasins. Et pour cause, la Nouvelle-Calédonie a compté en 2015 deux attaques mortelles de requins. Mais il y a un hic: l’efficacité du produit est remise en question depuis qu’un jeune surfeur de 16 ans s’est fait mordre le bras par un requin en Floride alors même qu’il portait le fameux bracelet au poignet.
Un incident malheureux qui force à la conclusion que le sharkbanz est inutile. De son côté, la marque maintient son discours commercial: le bracelet aurait le pouvoir de réduire les risques mais non de protéger totalement les porteurs. Une nuance qui, pour l’heure, n’empêche pas le sharkbanz de séduire - et rassurer- les clients calédoniens.