Illustration. Image du domaine public.
Le principe de la blockchain est une base de données décentralisée qui ne peut être rétroactivement modifiée. Le système n’est donc pas contrôlé par un opérateur central, il est dépendant de tous les nœuds du réseau auquel il est lié. Transparence, traçabilité et infalsifiabilité sont les forces de cette technologie novatrice.
Outil encore en devenir, la blockchain est actuellement utilisée pour l’application Bitcoin, le réseau de paiement peer-to-peer. Des pays, comme l’Estonie, l’expérimentent pour la gestion de cadastres. Dans l’avenir la technologie blockchain pourrait, entre autres, gérer des élections nationales et être généralisée dans le monde de la finance afin de permettre des transactions plus transparentes et plus sûres. Mais pour cela le coût et la rapidité de l’utilisation de cette technologie devront être améliorés. De plus l’impact énergétique de ce système, qui a pour principe de faire marcher de nombreux serveurs, est très important. Afin d’améliorer son emprunt écologique la technologie va devoir là aussi évoluer.
Et quelle que soit son utilisation, pour que la blockchain se démocratise il faudra que soient mis en place les outils nécessaires afin que tout un chacun puisse créer et faire marcher des applications simplement.
Alors, demain peut être, avec la blockchain et la dématérialisation, nous serons amenés à réaliser des transactions et échanger des données dans certains domaines sans pour autant devoir faire appel à des tiers habituels, que ce soit un notaire, une banque ou même une administration. C’est une révolution qui deviendra politique et qui nous demande dès maintenant une réflexion éthique ainsi que juridique. Cette révolution pourrait faire émerger de nouvelles formes d’organisation.
Outil encore en devenir, la blockchain est actuellement utilisée pour l’application Bitcoin, le réseau de paiement peer-to-peer. Des pays, comme l’Estonie, l’expérimentent pour la gestion de cadastres. Dans l’avenir la technologie blockchain pourrait, entre autres, gérer des élections nationales et être généralisée dans le monde de la finance afin de permettre des transactions plus transparentes et plus sûres. Mais pour cela le coût et la rapidité de l’utilisation de cette technologie devront être améliorés. De plus l’impact énergétique de ce système, qui a pour principe de faire marcher de nombreux serveurs, est très important. Afin d’améliorer son emprunt écologique la technologie va devoir là aussi évoluer.
Et quelle que soit son utilisation, pour que la blockchain se démocratise il faudra que soient mis en place les outils nécessaires afin que tout un chacun puisse créer et faire marcher des applications simplement.
Alors, demain peut être, avec la blockchain et la dématérialisation, nous serons amenés à réaliser des transactions et échanger des données dans certains domaines sans pour autant devoir faire appel à des tiers habituels, que ce soit un notaire, une banque ou même une administration. C’est une révolution qui deviendra politique et qui nous demande dès maintenant une réflexion éthique ainsi que juridique. Cette révolution pourrait faire émerger de nouvelles formes d’organisation.