Barack Obama, 44e président des Etats-Unis. Image du domaine public.
L’administration de l’ex-président américain Barack Obama a discrètement débloqué 221 millions de dollars à destination de l’Autorité palestinienne. La mesure défie le Congrès américain, dont les membres républicains avaient bloqué le virement en 2015 à destination des Palestiniens.
Un membre du département d’État et plusieurs proches collaborateurs du Congrès ont indiqué que l’ancienne administration au pouvoir avait bien notifié le Congrès de cette dépense, le 20 janvier 2017 au matin, peu de temps avant l’investiture de Donald Trump.
Le Congrès américain avait voté le versement de cette aide à la Palestine en 2015 avant que deux élus républicains, l’élu californien Ed Royce et l'élu texan Kay Granger, n’imposent des retenues sur ces fonds. Les retenues du Congrès sont généralement respectées par la branche exécutive, mais elles ne sont pas juridiquement contraignantes.
Cet argent proviendrait de l'Agence américaine pour le développement international et devrait servir à l'aide humanitaire en Cisjordanie et à Gaza, ainsi qu'à soutenir les réformes politiques et sécuritaires.
Un membre du département d’État et plusieurs proches collaborateurs du Congrès ont indiqué que l’ancienne administration au pouvoir avait bien notifié le Congrès de cette dépense, le 20 janvier 2017 au matin, peu de temps avant l’investiture de Donald Trump.
Le Congrès américain avait voté le versement de cette aide à la Palestine en 2015 avant que deux élus républicains, l’élu californien Ed Royce et l'élu texan Kay Granger, n’imposent des retenues sur ces fonds. Les retenues du Congrès sont généralement respectées par la branche exécutive, mais elles ne sont pas juridiquement contraignantes.
Cet argent proviendrait de l'Agence américaine pour le développement international et devrait servir à l'aide humanitaire en Cisjordanie et à Gaza, ainsi qu'à soutenir les réformes politiques et sécuritaires.