Dans ce document, l’organisation présente certaines des questions essentielles qui se posent au Bangladesh en matière de droits humains depuis les élections de janvier 2014, et adresse des recommandations au gouvernement sur les aspects nécessitant une attention urgente.
"Le Bangladesh a accompli des progrès en ce qui concerne la réduction de la pauvreté et d’autres indicateurs de développement mais pas pour ce qui est du respect des droits humains, comme l’arrêt de la torture ou la levée des restrictions entravant la liberté d’expression. Par ailleurs, nous avons recueilli des informations qui mettent en évidence la tendance inquiétante des forces de sécurité à procéder à des "disparitions", malgré leurs dénégations. Les pouvoirs publics doivent se pencher longuement et fermement sur l’attitude de leurs forces de sécurité, et mettre fin à l’absence presque totale d’obligation de rendre des comptes qui prévaut dans ce type d’affaires", a déclaré Abbas Faiz, spécialiste du Bangladesh à Amnesty International.
"Le Bangladesh a accompli des progrès en ce qui concerne la réduction de la pauvreté et d’autres indicateurs de développement mais pas pour ce qui est du respect des droits humains, comme l’arrêt de la torture ou la levée des restrictions entravant la liberté d’expression. Par ailleurs, nous avons recueilli des informations qui mettent en évidence la tendance inquiétante des forces de sécurité à procéder à des "disparitions", malgré leurs dénégations. Les pouvoirs publics doivent se pencher longuement et fermement sur l’attitude de leurs forces de sécurité, et mettre fin à l’absence presque totale d’obligation de rendre des comptes qui prévaut dans ce type d’affaires", a déclaré Abbas Faiz, spécialiste du Bangladesh à Amnesty International.