Les victimes de la répression d’État affirment que la justice reste hors d’atteinte et que des restrictions sont toujours en vigueur en dépit de récentes réformes institutionnelles.
"Le gouvernement bahreïnite ne peut continuer à emprisonner des personnes simplement parce qu’il ne sait pas accepter la critique. Il est temps que les personnes détenues simplement
pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression soient relâchées et que le harcèlement infligé aux autres militants cesse. Bahreïn risque de ne rien créer d’autre qu’un système des droits humains inopérant si les changements annoncés ne sont pas accompagnés d’une véritable volonté politique de réforme – les Bahreïnites doivent voir leurs droits respectés au quotidien", a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
En janvier 2013, Amnesty International a diligenté une mission à Bahreïn, où ses représentants ont rencontré sept prisonniers d’opinion incarcérés à la prison de Jaww. Ceux-ci ont tous indiqué avoir été emprisonnés sur la base de charges fabriquées de toutes pièces ou en vertu de lois bafouant leurs droits fondamentaux.
"Le gouvernement bahreïnite ne peut continuer à emprisonner des personnes simplement parce qu’il ne sait pas accepter la critique. Il est temps que les personnes détenues simplement
pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression soient relâchées et que le harcèlement infligé aux autres militants cesse. Bahreïn risque de ne rien créer d’autre qu’un système des droits humains inopérant si les changements annoncés ne sont pas accompagnés d’une véritable volonté politique de réforme – les Bahreïnites doivent voir leurs droits respectés au quotidien", a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
En janvier 2013, Amnesty International a diligenté une mission à Bahreïn, où ses représentants ont rencontré sept prisonniers d’opinion incarcérés à la prison de Jaww. Ceux-ci ont tous indiqué avoir été emprisonnés sur la base de charges fabriquées de toutes pièces ou en vertu de lois bafouant leurs droits fondamentaux.